Rentrée littéraire 2017
Le titre :
L’essence du mal de Luca D’Andréa aux édition Denoël, 464
pages, 21 € 90.
Publié le 26 octobre 2017.
Pourquoi cette lecture :
Il s’agit d’un partenariat avec les éditions Denoël.
J’ai choisi ce titre dans leur catalogue sur simple lecture
du pitch.
Le pitch :
En 1985, dans les montagnes hostiles du Tyrol du Sud, trois jeunes gens sont retrouvés morts dans la forêt de Bletterbach. Ils ont été littéralement broyés pendant une tempête, leurs corps tellement mutilés que la police n’a pu déterminer à l’époque si le massacre était l'œuvre d’un humain ou d’un animal.
Cette forêt est depuis la nuit des temps le théâtre de terribles histoires, transmises de génération en génération.
Trente ans plus tard, Jeremiah Salinger, réalisateur américain de documentaires marié à une femme de la région, entend parler de ce drame et décide de partir à la recherche de la vérité. À Siebenhoch, petite ville des Dolomites où le couple s’est installé, les habitants font tout – parfois de manière menaçante – pour qu’il renonce à son enquête. Comme si, à Bletterbach, une force meurtrière qu’on pensait disparue s’était réveillée.
Cette forêt est depuis la nuit des temps le théâtre de terribles histoires, transmises de génération en génération.
Trente ans plus tard, Jeremiah Salinger, réalisateur américain de documentaires marié à une femme de la région, entend parler de ce drame et décide de partir à la recherche de la vérité. À Siebenhoch, petite ville des Dolomites où le couple s’est installé, les habitants font tout – parfois de manière menaçante – pour qu’il renonce à son enquête. Comme si, à Bletterbach, une force meurtrière qu’on pensait disparue s’était réveillée.
Ce que j’en pense :
Les raisons qui me poussent à ouvrir un livre sont le plus
souvent très basiques : la curiosité, l’envie d’en savoir plus,
l’attirance pour une belle couverture… Bref, je ne suis pas très originale et
même pire encore, je suis faible car je me laisse très facilement tenter.
Par chance ou grâce à une bonne étoile de la lecture, je
suis rarement déçue, enfin vraiment très très déçue de mes choix. Il y a toujours
quelque chose de bon à retenir d’une lecture même si elle est imparfaite.
Dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui disons que le
premier plus est que nous avons droit à deux histoires en une. On est partagé
entre le passé (une trentaine d’années en arrière) et le présent. Forcément, ce
duo possède un point commun… Un homme.
C’est son obcession, sa quête entre autre qui va nous
contaminé et faire que l’on ne lâchera pas le livre. Il y a aussi l’écriture
habile de l’auteur. Cela se lit facilement et on est vite emporté en dehors de
notre petit quotidien, même quand certains passages introductifs peuvent
paraître un tantinet longuets, il y a forcément une excellente raison à cela.
Faîtes confiance à l’auteur…
La seconde qualité de cet ouvrage est qu’il est addictif.
La troisième est qu’on en aurait voulu presque un peu plus…
La quatrième… Lisez-le, vous la trouverez.
Et s’il fallait mettre une note : 15 / 20
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