Le livre :
Coutumes de l’espace. Petit manuel à l’usage des terriens de
Gavin’s Clemente Ruiz aux éditions du Chêne, 207 pages, 14 € 90.
Publié le 28 septembre 2016.
Pourquoi cette lecture :
J’ai trouvé ce livre en bibliothèque et comme j’aime ce qui
touche aux sciences et à l’exploration spatiale, même si je ne suis qu’une
pauvre terrienne bien basique, j’ai eu envie de découvrir ce petit manuel.
Le pitch :
Saviez-vous
que les cosmonautes ne peuvent utiliser que des radios pour communiquer dans
l'espace ? Que si vous criez sur la Lune, personne ne vous entendra ? Que les
premiers astronautes de retour sur Terre ont été mis en quarantaine ? Que
l'exosphère se situe à 600 kilomètres de la Terre ? Autant d'anecdotes
insolites que ce petit ouvrage joliment illustré nous raconte et nous explique
à travers différentes thématiques.
L'occasion de (re)découvrir l'espace de manière originale et ludique.
L'occasion de (re)découvrir l'espace de manière originale et ludique.
Ce que j’en pense :
J’ai toujours été d’une nature curieuse et plutôt touche à
tout. Je regarde régulièrement des documentaires et des vidéos de chaines YouTube
dédiées aux sciences et à l’exploration spatiale. Tomber sur ce titre était une
occasion trop belle pour la laisser passer car même si cela nous paraît presque
anodin de voir s’envoler des satellites, de savoir que l’exploration de
l’univers se poursuit et que régulièrement on découvre une nouvelle exoplanète,
etc… Cela reste une sacrée aventure qui a des répercussions sur notre
quotidien. Si, si ! On est toutes et tous des particules composant cet
univers en expansion.
Rangées par thématiques, on trouvera à chaque page une
question que l’on peut se poser. C’est court, mais précis, sans langage abrupt,
ni trop scientifique. C’est à la portée de tout le monde, les jeunes et les
moins jeunes.
On peut lire ce manuel dans l’ordre, mais aussi picorer
quelques pages dans le désordre. On a alors l’impression de découvrir des
petites brèves instructives qui attisent notre curiosité et font que l’on a
bien du mal à arrêter notre lecture. On se dit toujours : « Une
petite dernière pour la route ». Il y a pire, non ?
Et s’il fallait mettre une note : 16 / 20
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