Le livre :
Éditeur Stock
250 pages
Format : 136 x 215 mm
EAN : 9782234093713
Prix : 19.90 €
La quatrième de couverture :
« Ce livre est différent de tous mes autres livres.
J’y aborde un sujet dont je m’étais toujours efforcé de garder les détails secrets, un sujet que je ne comprendrai jamais à la perfection mais sur lequel j’ai beaucoup progressé, en l’épluchant, en le fouillant, en l’explorant, en le questionnant : mon vécu.
En le partageant avec vous, chers lecteurs, qui m’êtes fidèles depuis tant d’années, j’entends donner des clés qui vous permettront de déverrouiller certains aspects d’un autre vécu, le vôtre. Au nom du partage d’expériences, au nom de la transmission qui ouvre sur tant d’espaces de réflexion et de compréhension.
Une enfance modeste peut être fondatrice de bien des miracles si elle est heureuse. Vous allez découvrir que l’histoire familiale est capitale dans la construction et les choix de l’homme que je suis devenu. Vous allez constater que le cancer n’arrive pas qu’aux autres et qu’il importe de se faire dépister car on n’a pas toujours la « chance », comme moi, de le découvrir par hasard… Et vous verrez aussi que les polémiques pèsent peu au regard des amitiés et des rencontres inoubliables que réserve la vie. »
Sincère, émouvant, parfois drôle, mais jamais impudique, un livre inattendu, où celui qui reste le médecin préféré des Français parle pour la première fois des moment importants de sa vie. Avec des révélations qui toucheront un large public.
Ce que j’en pense :
C’est certainement le médecin le plus médiatique de ces dernières années. On le retrouve presque partout : radio, télévision, réseaux sociaux, magazines etc… Peut-être que beaucoup en ont marre de le voir, de l’entendre, mais j’avoue que personnellement non. J’aime bien sa spontanéité, sa gouaille un rien provocatrice et plutôt franchouillarde, sa simplicité aussi. Ben oui, il est partout, mais n’a pas le gros melon pour ce que j’ai pu constater la fois où je l’ai croisé sans l’aborder de front. Il était comme tout le monde, sans chercher à faire valoir sa notoriété pour passer devant. J’ai apprécié et c’est aussi pour cela que j’ai voulu le découvrir encore plus via cette lecture plus personnelle.
J’ai déjà lu tous les autres livres signés de sa plume excepté un. Je le pratique donc depuis un moment et jamais je n’ai été déçue.
Ce titre plus intime ne déroge pas. Il me permet de mieux comprendre le personnage qu’il est publiquement, mais aussi de cerner plus distinctement ce qui l’a construit, ses valeurs que je pouvais percevoir et au final d’apprécier toujours autant l’homme et le médecin.
Mais son livre résonne aussi en moi car dans ce parcours humain, je peux y piocher des éléments qui vont me parler plus particulièrement. Le but qu’il s’était fixer lors de son écriture est atteint.
Michel Cymes peut aussi à travers ce nouvel écrit insister sur ses « marottes », les points qui lui semblent essentiels pour être et rester en bonne santé le plus longtemps possible. Il peut également donner du sens à cette « omniprésence » partout, sur tous les fronts même là où on ne l’attend pas forcément. Cette boulimie, cette frénésie n’est pas alimentée par son égo, mais par sa personnalité et par son caractère, ainsi que ses « pathologies » chroniques. Bref, Michel Cymes fait du Michel Cymes en tout temps et pour longtemps, aussi longtemps qu’il le pourra.
Ce qui n’est pas pour me déplaire… J’en redemande.
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