tag:blogger.com,1999:blog-68090684988627468552024-03-14T07:17:50.731+01:00Espace temps libreC'est un blog, mon blog Littéraire pendant de longues années, mais aussi un espace de détente et d'éveil à la culture en général donc j'y aborderai d'autres thématiques et supports comme les films, séries, podcast, applications, jeux vidéo et que sais-je encore !!!!
Soyons curieux de tout. Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.comBlogger1080125tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-58846529799238238572024-02-07T16:12:00.001+01:002024-02-07T16:12:23.504+01:00L'homme sans sommeil d'Antonio Lanzetta<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhED8nZ5P7I3OXtv1BFm4NsdukaK5oj7oA63eoA3DfV45XB6klw99QdT94OjgC0wqzLlQrDlXt1a-ywReTsXlzXxUnEhR63aMCZpe3yBs0fdK7aiwUGZVFkvN1BgHiT3hKAbmysMuJzfEHlp4ZyC8TpLcFAE1vPU_rqsKLL7VvunpGPyjgOWbonn1hq7UY/s567/L'homme%20sans%20sommeil.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="567" data-original-width="383" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhED8nZ5P7I3OXtv1BFm4NsdukaK5oj7oA63eoA3DfV45XB6klw99QdT94OjgC0wqzLlQrDlXt1a-ywReTsXlzXxUnEhR63aMCZpe3yBs0fdK7aiwUGZVFkvN1BgHiT3hKAbmysMuJzfEHlp4ZyC8TpLcFAE1vPU_rqsKLL7VvunpGPyjgOWbonn1hq7UY/s320/L'homme%20sans%20sommeil.jpeg" width="216" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;">Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l’imposante bâtisse. Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d’inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d’Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ? <br />Cette histoire est celle d’une amitié, de souvenirs brisés et d’un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C’est l’histoire de Bruno, et de l’été où il est devenu l’Homme sans Sommeil.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;"><br />« Un livre hautement recommandé pour tous les amateurs de thrillers et de romans noirs. » - Milan noir<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’auteur, Antonio Lanzetta, que j’avoue humblement n’avoir jamais lu auparavant et qui m’était totalement inconnu, m’a été présenté comme étant le Stephen King italien. Le moins que je puisse dire, c’est que la comparaison n’est pas anodine. Elle peut être lourde à assumer. D’ailleurs, je ne m’aventurerai pas sur ce terrain car je n’aime pas trop faire des comparaisons entre les auteurs qui doivent avoir chacun leur style, leurs qualités voir quelques défauts même si tout ceci est subjectifs. Et puis, mes lectures de Stephen King remontent à si longtemps que ce serait sans fondement.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">En revanche, je puis dire que j’ai pris du plaisir à lire et découvrir ce roman classé dans le registre des thrillers. C’est déjà bien non ?<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">« L’homme sans sommeil » se lit aisément et même si au tout début, on doute un peu de ce que l’on croit comprendre, qu’on se demande si on a bien lu… On est vite conforté ou non dans nos impressions et on plonge dans l’intrigue. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">J’ai pris mon temps pour lire ce roman qui a une longueur parfaite. Ni trop, ni trop peu. J’ai eu envie de m’immerger et de vivre complètement cette histoire. Parfois, on dévore littéralement un livre, mais on est aussi un peu déçu du coup de quitter tout ce que nous happait. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les personnages sont en nombre raisonnable et on les identifie très bien. Aucune confusion. Chacun a son importance et amène une pierre à l’intrigue qui elle-même est bien construite. Pour une fois, je n’ai pas tout deviné à l’avance avec des ficelles plus ou moins grosses et sans être non plus totalement surprise, c’était agréable. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je n’en dirai pas beaucoup plus car je trouve que ce serai vous gâchez votre lecture. Entrez donc dans cette histoire venue du passé qui n’est peut-être pas terminée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une petite remarque sur la belle couverture de ce livre. Beau choix d’illustration, de couleurs, de typologie… Sobre, mais efficace tout en étant élégant. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>
<iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/3M4FJBCz8Ng?si=VbHpwLljnY9nvKPM" title="YouTube video player" width="560"></iframe>
Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-35934958677076710972023-07-17T23:41:00.003+02:002023-07-17T23:41:37.659+02:00Le bureau d'éclaircissement des destins de Gaëlle Nohant<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimp1leKHWwaGTTG46Y3moTEvkDt0GoJF1sYlSAIPYUxUPU7iOW4ytMBvC03ZQjOHu75q7kYL3m7XPaxxBRAOj5gs3fLCVMYjLTazGrbbbuIePmJrq7hdddUX8HBDPatJuCTKreFDk6oSIHIajxIsX0y1DZ-JIVJ5llJMWERJhJi9DS1oJICw-4ZylfuWk/s500/Le%20bureau%20d'e%CC%81claircissement%20des%20destins.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="500" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimp1leKHWwaGTTG46Y3moTEvkDt0GoJF1sYlSAIPYUxUPU7iOW4ytMBvC03ZQjOHu75q7kYL3m7XPaxxBRAOj5gs3fLCVMYjLTazGrbbbuIePmJrq7hdddUX8HBDPatJuCTKreFDk6oSIHIajxIsX0y1DZ-JIVJ5llJMWERJhJi9DS1oJICw-4ZylfuWk/s320/Le%20bureau%20d'e%CC%81claircissement%20des%20destins.jpeg" width="320" /></a></div><br /><b><u> <span style="font-family: Calibri, sans-serif;">Le pitch :</span></u></b><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"> </span><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;">Au cœur de l’Allemagne, l’International Tracing Service est le plus grand centre de documentation sur les persécutions nazies. La jeune Irène y trouve un emploi en 1990 et se découvre une vocation pour le travail d’investigation. Méticuleuse, obsessionnelle, elle se laisse happer par ses dossiers, au regret de son fils qu’elle élève seule depuis son divorce d’avec son mari allemand. <br />A l'automne 2016, Irène se voit confier une mission inédite : restituer les milliers d’objets dont le centre a hérité à la libération des camps. Un Pierrot de tissu terni, un médaillon, un mouchoir brodé… Chaque objet, même modeste, renferme ses secrets. Il faut retrouver la trace de son propriétaire déporté, afin de remettre à ses descendants le souvenir de leur parent. <br />Au fil de ses enquêtes, Irène se heurte aux mystères du Centre et à son propre passé. Cherchant les disparus, elle rencontre ses contemporains qui la bouleversent et la guident, de Varsovie à Paris et Berlin, en passant par Thessalonique ou l’Argentine. Au bout du chemin, comment les vivants recevront-ils ces objets hantés ?<br />Le bureau d’éclaircissement des destins, c’est le fil qui unit ces trajectoires individuelles à la mémoire collective de l’Europe. Une fresque brillamment composée, d’une grande intensité émotionnelle, où Gaëlle Nohant donne toute la puissance de son talent. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est avec une découverte presque faite au hasard que l’auteur trouve l’idée fil rouge de son roman (les archives Arolsen en Allemagne qui depuis l’après-guerre détermine ce qui est arrivé aux victimes de la Shoah et plus globalement de la persécution Nazie). C’est assez fréquent d’avoir ainsi des idées qui fusent au détour d’informations qui nous parviennent, mais pour construire un récit tel que celui qui nous est livré, il a fallu en faire bien d’autres des recherches. Il y a eu tellement de livres écrits sur cette thématique et pourtant on n’en fera jamais vraiment le tour car chaque victime, chaque personne ayant vécu cette période aura sa vision. Et les autres ne pourront qu’imaginer… <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le personnage d’Irène lui aussi arrive dans ces archives un peu par hasard et elle se prendra plus qu’au jeu. Cela va devenir une passion, une vocation. Ce côté « Sherlock Holmes » pour retrouver les descendants des victimes devient une seconde nature. Et évidemment, tout cela va impacter sa vie de manière plus personnelle. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Ce livre est au final une ode à la vie plus qu’un rappel de la mort des toutes ces personnes disparues dans des conditions horribles. Avant d’avoir été des victimes, c’étaient des personnes bien vivantes et la restitution de ces fragments de vie, c’est les maintenir dans notre monde des vivants. On est dans l’entretien de la mémoire car le livre est très contemporain, tourné vers les jeunes générations, porteuses forcément d’espoir et pleine de vie, de promesses pour l’avenir alors que la guerre qui a tant détruit, laissé des traces si profondes, on essaie d’en tirer des leçons de vie. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Tous les personnages du roman sont très forts et si on en préfère toujours certains à d’autres comme dans le monde réel, ils n’en sont pas moins ultra réalistes, bien pensés, si bien incarnés. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-60013351440308628052023-07-17T16:46:00.001+02:002023-07-17T16:46:58.602+02:00Eloge de la surface de Tilla Relmani et Stella Lory<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4jNy7C317rbfPiHFPMSZYb7n3SOvi38SXzd8DoSm4jVldDm4YIitXXf0mHcemzAW5XJVGKKO4Inv8WqwRQVIMf_Pzomdg7LSl98IAiyt39AlrYB9qk5lpuAUi1p3ounKkMxj2gVc-v1tm5eednXF_q2Bu9CqmhwFvtzK637TyXjMwperaKW1bL7kVLug/s3189/Eloge%20de%20la%20surface%20.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3189" data-original-width="2361" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4jNy7C317rbfPiHFPMSZYb7n3SOvi38SXzd8DoSm4jVldDm4YIitXXf0mHcemzAW5XJVGKKO4Inv8WqwRQVIMf_Pzomdg7LSl98IAiyt39AlrYB9qk5lpuAUi1p3ounKkMxj2gVc-v1tm5eednXF_q2Bu9CqmhwFvtzK637TyXjMwperaKW1bL7kVLug/s320/Eloge%20de%20la%20surface%20.jpeg" width="237" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch :</u></b> <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;">Yasmina, psychologue de 35 ans, est consommatrice de programmes de télé-réalité. Petite dernière d'une brillante famille d'universitaires, elle décide de leur prouver que la télé-réalité est un sujet de recherche digne d'intérêt et parvient à se faire embaucher sur le tournage d'une émission comme journaliste.<br />Plutôt que de s'arrêter au constat méprisant que ces émissions sont au mieux mainstream et au pire avilissantes, les autrices interrogent avec intelligence et humour les mécanismes psycho-sociaux qui viennent se nicher dans ce désir addictif de regarder l'intimité d'inconnus à la TV.<br />Un décryptage entre humour et analyse documentaire, grâce au regard de Tilila Relmani, psychologue passionnée de télé-réalité et nourrie d’échanges avec des journalistes spécialistes du sujet.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhG_6LT6-wLoK-uLG1qbFyk2WwGwIAIA1fSrli1Nw-EWIv4jIfPLP-DO3kLcjgyFlBpJ2TCwS7CXJXyUD1xWpCxTxP2Psh3o7K6pt7mZZaZD0HFsUbugpbsGWRs0L82ZZGn_2879l5x7rU-RHpapbhncGx5-hNk6ZI8B8F8ShANMc2HVdVEtiA-VL9BaEc/s1167/Eloge-de-la-surface_Page_006.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1167" data-original-width="836" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhG_6LT6-wLoK-uLG1qbFyk2WwGwIAIA1fSrli1Nw-EWIv4jIfPLP-DO3kLcjgyFlBpJ2TCwS7CXJXyUD1xWpCxTxP2Psh3o7K6pt7mZZaZD0HFsUbugpbsGWRs0L82ZZGn_2879l5x7rU-RHpapbhncGx5-hNk6ZI8B8F8ShANMc2HVdVEtiA-VL9BaEc/s320/Eloge-de-la-surface_Page_006.jpeg" width="229" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Avec cette bande dessinée, vous allez tout apprendre et comprendre le pourquoi du comment ça marche en fait la téléréalité. Oui en gros, c’est toute la téléréalité pour les nuls ! <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Que vous soyez consommateur ou pas de ce type de programmes, on gagne à mieux cerner la chose et ainsi à ne pas rester sur des idées préconçues. Quoiqu’on en dise, on a en toutes et tous en tête. J’avoue que mes propres connaissances en la matière étaient des plus limitées ou datées et j’ai ainsi pu dépasser certains stades assez primaires de mon raisonnement. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">J’ai certainement plus apprécié le fond que la forme car les dessins ne m’ont pas enthousiasmé, même si je leur reconnais très volontiers une efficacité certaine. Et c’est le principal car ils n’ont pas été un frein non plus. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est encore une fois un titre qui gagnerait à se trouver mis en valeur dans les CDI des collèges et lycées, ainsi que dans les médiathèques pour toucher un maximum de public. Et un public averti en vaut bien d’autres ! <o:p></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-61214734886986574352023-06-27T17:46:00.004+02:002023-06-27T17:46:40.247+02:00Le cycle de Lyoness, tome 1 : Le jardin de Suldrun de Jack Vance<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhegscib9NEjTQBUoJVg4eZ1HvrBlEbiRBRuWv7UPv-5fnQ_EQWzllqOC7u2mdw1g-d2g2atPvfBaoIakC51_cLChB8THFCqoENW4Frs-BirxHyUPIKnqvWDkCe546sxjEjLaoCAkK6Guk2RC_g5vdZ8QsdSHgI76BQ7M-P2kh5sCLuGTt9kfqsoQYqiSY/s780/Le%20jardin%20de%20Soldrun.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="780" data-original-width="780" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhegscib9NEjTQBUoJVg4eZ1HvrBlEbiRBRuWv7UPv-5fnQ_EQWzllqOC7u2mdw1g-d2g2atPvfBaoIakC51_cLChB8THFCqoENW4Frs-BirxHyUPIKnqvWDkCe546sxjEjLaoCAkK6Guk2RC_g5vdZ8QsdSHgI76BQ7M-P2kh5sCLuGTt9kfqsoQYqiSY/s320/Le%20jardin%20de%20Soldrun.webp" width="320" /></a></div><br /> <span style="font-family: Calibri, sans-serif;"> </span><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 13.5pt; letter-spacing: 0.4pt;">Autrefois, sur des îles aujourd’hui englouties sous les flots de l’océan Atlantique, s’étendait une contrée où les créatures magiques vivaient en harmonie avec les humains. Un monde de magnificence, d’aventure et de sombre magie. De ces Isles Anciennes, jadis, les ancêtres du roi Arthur s’étaient élancés pour atteindre les côtes de l’Angleterre. Là vivait Suldrun, une princesse dont la beauté mélancolique déchaînait toutes les convoitises et pouvait servir l’ambition sans limite de son puissant et malfaisant géniteur, le roi Casmir de Lyonesse. Un jour, la jeune fille découvre sur une plage le corps presque sans vie du prince Aillas de Troicinet...</span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Voilà longtemps que je ne m’étais pas lancée dans une lecture (même audio) d’une trilogie fantasy. C’est un genre que je délaisse un peu et j’ai tort. Mon âme d’enfant s’y plait : La magie, les créatures fantastiques, les chevaliers, les rois, les princesses…. Et même un fond de véracité si on cherche un peu profondément… Enfin qu’est-ce qui est vrai en ce bas monde… ? On se le demande… N’est-ce point de la poudre aux yeux ?<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le roman est riche, les personnages très nombreux et fort heureusement l’écriture est assez méthodique pour que toutes les pièces se mettent au fur et à mesure en place. Pas d’affolement donc au début où franchement, on se dit : Je n’y comprends plus rien, mais qui est qui et qui fait quoi ? Les jeux de pouvoirs ? Laissez-vous guider. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">La version audio doit beaucoup au lecteur qu’est Marvin Schlick. Il sait moduler sa voix, la faire changer suffisamment pour que l’on ne confonde pas les divers protagonistes qui interagissent. Il donne corps et vie au texte.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Après oui, on pourra dire que c’est assez caricatural. On y trouve bien des poncifs. Certaines ficelles sont un peu grosses, mais en me glissant dans ce récit un peu chaque jour, j’avais l’impression qu’on me racontait justement un conte long et pas désagréable du tout au final. J’ai même envie de poursuivre avec les deux prochains volets. Je suis restée une grande enfant qui aime les histoires.<o:p></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-5082385908312308012023-06-27T17:13:00.005+02:002023-06-27T17:13:58.716+02:00GILTLa guilde des temporalistes indépendants d'Alisa Kwitney et Mauricet<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguovFDrvuolAZHnKz338o3AfvCTgkkahHficyPZEN5DPjxVyv1_3S8KmZTuS8_Cj7P033otSNH9gnh1nJ6tLCgebyI0IzjHSs9Z7-4JVJ4moTEaBBejzZm6-KG3Y5xWQ0S-Kt_hQeyCuLJSeccw5VOvay9V-6YFKFJrdSLo8PxKLgt1diRCIRrhjj8iK4/s2085/GILT%20.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2085" data-original-width="1400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguovFDrvuolAZHnKz338o3AfvCTgkkahHficyPZEN5DPjxVyv1_3S8KmZTuS8_Cj7P033otSNH9gnh1nJ6tLCgebyI0IzjHSs9Z7-4JVJ4moTEaBBejzZm6-KG3Y5xWQ0S-Kt_hQeyCuLJSeccw5VOvay9V-6YFKFJrdSLo8PxKLgt1diRCIRrhjj8iK4/s320/GILT%20.jpeg" width="215" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p style="font-family: "Times New Roman", serif; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm;"><b><span lang="EN-US" style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">GILT, c'est Sex in the City + Absolutely Fabulous + Code Quantum, saupoudrés de Twilight Zone ! </span></b><b><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">C'est surtout un envoutant récit de fantaisie et de SF, signé Alisa Kwitney (The Sandman Presents) et du dessinateur belge Mauricet (Harley Quinn).</span></b><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;"><o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Hildy Winters est une survivante, une dure à cuire de l'Upper West Side de New York, une sacrée vieille bonne femme qui possède son propre portail lui permettant de voyager dans le temps. Hildy appartient à La Guilde des Temporalistes Indépendantes, des femmes capables de voyager dans le passé (sans le modifier !), tout en bénéficiant de leur expérience accumulée jusqu'à présent.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7zY9kDkDt04vfmn3TBh37YauSdNgXr89_5dMtwqvjAnyzSy43NXZHtJJuQRQ6yt4PelM2dEi71EDEMHX-TWCDW4xmNOI-4Mh9XqtPv8x5YLyFomnsJ-wfxQ7cKtfUAY1woMjWhtM_xX14T-R9u69QDbmPa_xfQz7IvwBZkkEFlitpLe5j8CwB2pKMkYM/s1465/GILT%202.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="380" data-original-width="1465" height="83" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7zY9kDkDt04vfmn3TBh37YauSdNgXr89_5dMtwqvjAnyzSy43NXZHtJJuQRQ6yt4PelM2dEi71EDEMHX-TWCDW4xmNOI-4Mh9XqtPv8x5YLyFomnsJ-wfxQ7cKtfUAY1woMjWhtM_xX14T-R9u69QDbmPa_xfQz7IvwBZkkEFlitpLe5j8CwB2pKMkYM/s320/GILT%202.jpeg" width="320" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le résumé m’a titillé et j’ai sauté le pas. J’ai franchi le vortex… Ou plus simplement, j’ai tourné les pages de cet album. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est d’inspiration plutôt comics que BD type Belge déjà. Tout y est plus moderne, un peu plus tranché, net, plus froid sans que ce soit désagréable. Je n’ai néanmoins pas pu vraiment me fondre dans le récit. Et pourtant, j’adore la plupart des références citées dans le pitch… Il m’a manqué un je ne sais quoi de supplément d’âme que je n’ai point déniché. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’ensemble est bien fait, correctement mis en valeur (couleurs, texte, dynamique de chaque page), mais… Je n’ai pas eu de coup de cœur. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’était amusant, parfois agaçant, rarement dérangeant. Cela s’est voulu porteur de références et je ne les ai pas toutes retrouvées au top niveau. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A découvrir, à faire connaître, mais pas certaine que cela restera dans nos annales… <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-47288214619585171952023-06-19T17:29:00.000+02:002023-06-19T17:29:07.369+02:00Le regard invisible tome 1 de Ferrari Elisa<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_zmESu90aod1sBfMK-WufYJB-4LGA-q1xYIqO9DDikstNj-H9P67-brUynrdH-UvPDWytmNb3Bm6NenhwrgsSazJsocdaVM44fUSAyCdBUBZ6e-xZclBxQF6mFn6y20qG10houPWPqEoE-ptNgTYNWFd_B2GjaZXWXYdtrde1ob2fdPUTTSf378ZO_Rs/s554/Le-Regard-invisible-T01.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_zmESu90aod1sBfMK-WufYJB-4LGA-q1xYIqO9DDikstNj-H9P67-brUynrdH-UvPDWytmNb3Bm6NenhwrgsSazJsocdaVM44fUSAyCdBUBZ6e-xZclBxQF6mFn6y20qG10houPWPqEoE-ptNgTYNWFd_B2GjaZXWXYdtrde1ob2fdPUTTSf378ZO_Rs/s320/Le-Regard-invisible-T01.jpeg" width="231" /></a></div><br /><b><u><br /></u></b><p></p><p><b><u> <span style="font-family: Calibri, sans-serif;">Le pitch :</span></u></b><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;">Voilà sept ans, cinq amis, adolescents à l'époque, ont vécu une expérience traumatisante lors d'un séjour en montagne. Aujourd'hui, alors qu'ils vivent chacun leur vie mais gardent ce secret enfoui dans leur mémoire, des lettres leur parviennent qui font explicitement référence à leurs souvenirs. Qui connaît autant de détails ?... </span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Ils trouveront des réponses mais qu'ils paieront au prix fort...</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;"><span style="background-color: white;"><br /></span></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab"; font-size: 11pt;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgA4-Oy178C8eX79Fek7cTzTPkeyt5cmYJFzQy5NZyzZOft_BlrwpOWqvKpv_iHyGyLATbOSUhs2IDOUHhPvKaXchmw6vv5DUgHHfk6dm8McxniD4_vUsvyFPrTicYzkvPwog2mMl0bm1B5LVYT32oSmjLGhQRG3lTHTH1eIiooteyl6DXXhKdNnr8C374/s561/Le%20regard%20invisible%201.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="561" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgA4-Oy178C8eX79Fek7cTzTPkeyt5cmYJFzQy5NZyzZOft_BlrwpOWqvKpv_iHyGyLATbOSUhs2IDOUHhPvKaXchmw6vv5DUgHHfk6dm8McxniD4_vUsvyFPrTicYzkvPwog2mMl0bm1B5LVYT32oSmjLGhQRG3lTHTH1eIiooteyl6DXXhKdNnr8C374/s320/Le%20regard%20invisible%201.jpeg" width="228" /></a></div><br /><span style="background-color: white;"><br /></span><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Ce n’est guère original le scénario du groupe d’amis qui après une expérience hors norme s’éparpille un peu partout, vit sa vie jusqu’à ce que… Le passé refasse surface. Ce qui est plus intéressant, c’est comment on mène la barque une fois la grenade dégoupillée. Et dans ce cas précis, il y a des petits plus qui renforcent la tension autour de l’intrigue principale. J’ai aimé cela car en prime, cela renforce le côté plausible de la chose même si on sait pertinemment que c’est de la fiction. On a plus envie d’y croire et de frissonner.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Dans le cas de ce premier volet aussi, tout est très bien fait pour vous mettre l’eau à la bouche. On en montre tout juste assez pour que votre curiosité soit émoustillée et pas trop, pour ne pas éventer le(s) secret(s). Un bon dosage pas si évident. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">J’ai particulièrement apprécié également le coup de crayon qui donne à cette bande dessinée véritablement vie. Il y a du rythme, de la variété, du détail, de belles couleurs. On est happé. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les protagonistes sont divers et chacun à sa personnalité. Classique, mais bien vu dans l’équilibre de ce groupe que l’on nous présente sans faire un effet : casting. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">On va attendre avec une certaine impatience le second volet pour rentrer encore plus dans le dur. Oui, vraiment on n’attend plus que cela. On piétine même ! <o:p></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-39441785527568406342023-06-13T18:26:00.004+02:002023-06-13T18:26:46.564+02:00La chair est triste hélas d'Ovidie<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjo9MNJ9IfD69jLVrvRLgkC85RNyJtpi2EO-uBBsHfniixh090MnNXukcJ081Xp0VNB2nxJAMBSzkRv0AI6I-Tua8-9OexYBFoOxb_VLXDlDTbsO38mt-BLuo8G8IAShZ9arGHAB2_y_ZL4LdzkGHHQelH33gXQjHwuvgijcejKctkU9m9w4ecxN6st/s586/La-chair-est-triste-helas.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="586" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjo9MNJ9IfD69jLVrvRLgkC85RNyJtpi2EO-uBBsHfniixh090MnNXukcJ081Xp0VNB2nxJAMBSzkRv0AI6I-Tua8-9OexYBFoOxb_VLXDlDTbsO38mt-BLuo8G8IAShZ9arGHAB2_y_ZL4LdzkGHHQelH33gXQjHwuvgijcejKctkU9m9w4ecxN6st/s320/La-chair-est-triste-helas.jpeg" width="218" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p style="font-family: "Times New Roman", serif; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">« J’ai repensé à ces innombrables rapports auxquels je m’étais forcée par politesse, pour ne pas froisser les ego fragiles. À toutes les fois où mon plaisir était optionnel, où je n’avais pas joui. À tous ces coïts où j’avais eu mal avant, pendant, après. Aux préparatifs douloureux à coups d’épilateur, aux pénétrations à rallonge, aux positions inconfortables, aux cystites du lendemain. À tous ces sacrifices pour rester cotée à l’argus sur le grand marché de la baisabilité. À toute cette mascarade destinée à attirer le chaland ou à maintenir le désir après des années de vie commune. Cette servitude volontaire à laquelle se soumettent les femmes hétérosexuelles, pour si peu de plaisir en retour, sans doute par peur d’être abandonnées, une fois fripées comme ces vieilles filles qu’on regarde avec pitié. Un jour, j’ai arrêté le sexe avec les hommes. »<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Autrice et documentariste spécialiste de l’intime et du rapport au corps, Ovidie retrace ici la trajectoire qui l’a conduite à quatre années de grève du sexe.<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Dirigée par Vanessa Springora, la collection « Fauteuse de trouble » articule intimité et émancipation, érotisme et féminisme, corps et révolte, sexuel et textuel. <o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;"><br /></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJ0CpAXsNU--c0GRMghQ4eYdXbEHJ00D16NgkDMoZcrBgIMhayIr5JDjJvrObdXAdX4pVwqS2pd7M5XlmKGScqXyYFS6pH0tvDu6Bxk8_lpyP1ipJN9ee8JtsQbOtxJGZTZTj5l5y_yajS60sQVIU18OsRPVSrfQmvhsQy_HVvcEnL_M2RV4zwhiAC/s1342/Ovidie.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="671" data-original-width="1342" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJ0CpAXsNU--c0GRMghQ4eYdXbEHJ00D16NgkDMoZcrBgIMhayIr5JDjJvrObdXAdX4pVwqS2pd7M5XlmKGScqXyYFS6pH0tvDu6Bxk8_lpyP1ipJN9ee8JtsQbOtxJGZTZTj5l5y_yajS60sQVIU18OsRPVSrfQmvhsQy_HVvcEnL_M2RV4zwhiAC/s320/Ovidie.jpeg" width="320" /></a></div><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"> </span><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Ovidie a plus d’une casquette et pourtant on la retrouve toujours sur des thématiques assez engagées et parfois un peu sulfureuses pourraient dire certaines personnes un peu coincées. Parce que oui, elle a débuté comme actrice dans la porno. Elle a ensuite réalisé des films toujours classés dans cette catégorie, mais avec une vision plus féministe. Elle se tournera vers les documentaires ensuite et l’on peut découvrir avec elle, les faces peu reluisantes de cette industrie très lucrative qu’est devenue la pornographie, ses films, ses plateformes… Si on ne possède pas ces clefs de départ, il est fort possible que l’on passe à côté de l’ouvrage d’aujourd’hui. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Pour autant, il serait trop réducteur de ne considérer que ces expériences. Ovidie, c’est aussi une femme très cultivée (elle a un doctorat en lettres), journaliste, écrivaine et interlocutrice de choix dans divers médias comme des podcasts. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">« La chair est triste hélas » n’est donc pas un texte isolé, mais qu’il faut prendre comme une pièce de toute son œuvre bien loin d’être achevée. Une étape. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Qu’une personne ayant vécu semble-t-il la sexualité comme un élément essentiel, devienne ainsi une femme retirée du « Game » (les relations avec des hommes seulement car elle ne se déclare pas asexuelle) peut surprendre et pourtant, c’est certainement plus logique qu’on ne le croit car justement, Ovidie sort de sa zone de contrôle et livre un texte rempli de sentiments forts, avec peu, voir pas de filtres. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Son écriture est vivante. Ce texte n’est assurément pas un essai bien policé. Et cette spontanéité m’a touché. J’ai pu sentir ses émotions voir en partager certaines. Solidarité féminine ? Possible car on a toutes eu des passages qui se ressemblent. Après, je ne suis pas d’accord sur tout, loin de là même. Elle pousse trop en avant pour moi. Je diverge. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les hommes peuvent aussi lire ce titre. Ils en prennent pour leur grade, mais ils peuvent en ressortir grandis. On apprend de ses erreurs. Nous ne sommes pas parfaites, nous les femmes, mais nous sortons de notre mutisme. Je ne suis pas une féministe, juste une femme. Ovidie est avant tout une femme aussi. Ce livre est un état des lieux et rien n’est absolument gravé dans le marbre. Les choses peuvent évoluer. On ne revient pas sur le passé plus que nécessaire, autant voir aujourd’hui et demain. Alors même si encore une fois, je trouve qu’elle va trop loin pour moi, que je ne partage pas toutes ses idées, ses réflexions, sa logique, sa colère, c’était intéressant de la lire car elle ne semble pas être isolée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-39091719894064183252023-06-08T19:12:00.006+02:002023-06-08T19:12:58.348+02:00Sofia, tome 1 : la plage de la chaise rouge de Davide Tosello<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimzzZLScctz3A5du1iv7qgsbXuDHGfdzWnOnrnMVwDKTrKvq2EHug2SgPfY1BW_lxZXTx8v1vnlbBXLvnDlyIL3Un2umOkZaiXV9T77klzK_Y7fcdyQxCqYIICsUtp0iv9JtiCW_14pf1IQNHKJsYNa9asRUN4jdY_l0domTda5TizQM6CU4ovpqkZ/s928/Sofia%20.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="928" data-original-width="700" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimzzZLScctz3A5du1iv7qgsbXuDHGfdzWnOnrnMVwDKTrKvq2EHug2SgPfY1BW_lxZXTx8v1vnlbBXLvnDlyIL3Un2umOkZaiXV9T77klzK_Y7fcdyQxCqYIICsUtp0iv9JtiCW_14pf1IQNHKJsYNa9asRUN4jdY_l0domTda5TizQM6CU4ovpqkZ/s320/Sofia%20.jpeg" width="241" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; letter-spacing: normal; margin: 0cm; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Sofia et Tea (17 et 15 ans) sont deux soeurs qui ont grandi près de la célèbre "plage de la chaise rouge".<o:p></o:p></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Les deux soeurs sont très unies mais vivent selon des points de vue différents.<o:p></o:p></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Surfer, lire des livres, écrire, manger sainement, nourrir l'esprit et le corps sont les principes fondamentaux qui animent le quotidien de Sofia. Téa est accro aux réseaux sociaux et passe le plus clair de ses journées à tchater en ligne avec ses amis.<o:p></o:p></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Après une matinée de surf, Sofia quitte la plage avec son skateboard pour aller travailler sur un nouveau programme informatique. Elle se retrouve subitement propulsée dans un monde étrange, peuplé de créatures du cyberespace. Aurait-elle réussi l'impossible, se projeter elle-même dans le web à la recherche d'une vague mystique qui pourrait bien signer la disparition d'internet... ?<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; letter-spacing: normal; margin: 0cm; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;">A bien y réfléchir, beaucoup de mots pour évoquer notre activité sur Internet possèdent un rapport avec le monde de l’eau. Notez :<o:p></o:p></p><p class="MsoListParagraphCxSpFirst" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;"><!--[if !supportLists]--><span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span><!--[endif]-->On navigue sur le Net<o:p></o:p></p><p class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;"><!--[if !supportLists]--><span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span><!--[endif]-->On se noie sous les spam et autres mails<o:p></o:p></p><p class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;"><!--[if !supportLists]--><span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span><!--[endif]-->On s’abreuve de contenus en ligne<o:p></o:p></p><p class="MsoListParagraphCxSpLast" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;"><!--[if !supportLists]--><span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span><!--[endif]-->On surfe sur la Toile<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;">Et je pense que l’on peut en trouver d’autres encore. Mais du coup, je trouve que l’approche dans Sofia, la plage de la chaise rouge est extrêmement bien vu. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;">La lecture de cet album fut agréable et je vais en plus pouvoir le relire avec la playlist complète que j’ai pu trouver justement sur le net… Une excellente idée pour renforcer le plongeon (tiens encore un terme aquatique ?) dans les méandres de cette intrigue à peine futuriste.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;">Le seul bémol que je pourrais trouver, c’est qu’il est un poil complexe de tout saisir au premier abord avec une lecture type détente et que le public jeune, qui pourrait lire cette bande-dessinée, risque d’avaler la tasse (désolée). Et pourtant, je trouve que tellement d’aspects de ce que l’on trouve sur le Net sont abordés avec une justesse exemplaire, qu’il me parait judicieux de partager cette lecture avec le plus de monde possible. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;">Les graphismes et les couleurs sont magnifiques. On est littéralement submergé. J’avoue en avoir pris plein les yeux. C’était apaisant et en mouvement. Plein de détails et même temps dans des palettes de couleurs très harmonieuses. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="-webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; caret-color: rgb(0, 0, 0); color: black; font-family: Calibri, sans-serif; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0cm; orphans: auto; text-align: start; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px;"><o:p> </o:p></p><p><style class="WebKit-mso-list-quirks-style">
<!--
/* Style Definitions */
p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal
{mso-style-unhide:no;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent:"";
margin:0cm;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
p
{mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-margin-top-alt:auto;
margin-right:0cm;
mso-margin-bottom-alt:auto;
margin-left:0cm;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Times New Roman",serif;
mso-fareast-font-family:"Times New Roman";}
p.MsoListParagraph, li.MsoListParagraph, div.MsoListParagraph
{mso-style-priority:34;
mso-style-unhide:no;
mso-style-qformat:yes;
margin-top:0cm;
margin-right:0cm;
margin-bottom:0cm;
margin-left:36.0pt;
mso-add-space:auto;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
p.MsoListParagraphCxSpFirst, li.MsoListParagraphCxSpFirst, div.MsoListParagraphCxSpFirst
{mso-style-priority:34;
mso-style-unhide:no;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-type:export-only;
margin-top:0cm;
margin-right:0cm;
margin-bottom:0cm;
margin-left:36.0pt;
mso-add-space:auto;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
p.MsoListParagraphCxSpMiddle, li.MsoListParagraphCxSpMiddle, div.MsoListParagraphCxSpMiddle
{mso-style-priority:34;
mso-style-unhide:no;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-type:export-only;
margin-top:0cm;
margin-right:0cm;
margin-bottom:0cm;
margin-left:36.0pt;
mso-add-space:auto;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
p.MsoListParagraphCxSpLast, li.MsoListParagraphCxSpLast, div.MsoListParagraphCxSpLast
{mso-style-priority:34;
mso-style-unhide:no;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-type:export-only;
margin-top:0cm;
margin-right:0cm;
margin-bottom:0cm;
margin-left:36.0pt;
mso-add-space:auto;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
.MsoChpDefault
{mso-style-type:export-only;
mso-default-props:yes;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
@page WordSection1
{size:595.3pt 841.9pt;
margin:70.85pt 70.85pt 70.85pt 70.85pt;
mso-header-margin:35.4pt;
mso-footer-margin:35.4pt;
mso-paper-source:0;}
div.WordSection1
{page:WordSection1;}
/* List Definitions */
@list l0
{mso-list-id:280652119;
mso-list-type:hybrid;
mso-list-template-ids:2071385976 1608012410 67895299 67895301 67895297 67895299 67895301 67895297 67895299 67895301;}
@list l0:level1
{mso-level-start-at:0;
mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:-;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-fareast-theme-font:minor-latin;}
@list l0:level2
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:o;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:"Courier New";}
@list l0:level3
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:Wingdings;}
@list l0:level4
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:Symbol;}
@list l0:level5
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:o;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:"Courier New";}
@list l0:level6
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:Wingdings;}
@list l0:level7
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:Symbol;}
@list l0:level8
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:o;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:"Courier New";}
@list l0:level9
{mso-level-number-format:bullet;
mso-level-text:;
mso-level-tab-stop:none;
mso-level-number-position:left;
text-indent:-18.0pt;
font-family:Wingdings;}
-->
</style></p><p class="MsoNormal" style="font-size: medium;">N’hésitez pas, venez prendre la vague ! <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-size: medium;"><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUI_-Qy9FgitksCjWu1V6UN9sFwA1kDaU6hw6cnOWVypVvCBc3v_xgjMmvEJ-saAIACTMYY7Esbrp5-GrxAVaTV75sTekxiGn5Q7kUTVdT4c1pOy1O_0m1VPr_YHg_72xD4t2oGSHosquR4WqbVHQLlR8-QaZIvfdggHMxmDO4NLOHAeWwmA5VFdDv/s1160/Sofia%202.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1160" data-original-width="872" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUI_-Qy9FgitksCjWu1V6UN9sFwA1kDaU6hw6cnOWVypVvCBc3v_xgjMmvEJ-saAIACTMYY7Esbrp5-GrxAVaTV75sTekxiGn5Q7kUTVdT4c1pOy1O_0m1VPr_YHg_72xD4t2oGSHosquR4WqbVHQLlR8-QaZIvfdggHMxmDO4NLOHAeWwmA5VFdDv/s320/Sofia%202.jpeg" width="241" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><p class="MsoNormal" style="font-size: medium;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-2129599007280173162023-05-30T18:27:00.002+02:002023-05-30T18:27:08.406+02:00Grand Louis, tome 1 : Le marcassin de Louis de la Taille <p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigENGuwbrPgTrVg8bGDhWy4aMna3pqmIDUjl8h_XFNNH91d7_eiyGz1y3v08tq64vqmY0e5xFaRTq9ZJNGvXR5uJ6PNb-jaQ0KOgT0iKquKSL2RCCnRhvyBBrvRId37B_YrQHTy8Wu3C0v52s0PFwAxQExBvQwwp77PJ4-u25fhdviU3vKEtNhZbkO/s935/Grand%20Louis%20Tome%201%20.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="935" data-original-width="700" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigENGuwbrPgTrVg8bGDhWy4aMna3pqmIDUjl8h_XFNNH91d7_eiyGz1y3v08tq64vqmY0e5xFaRTq9ZJNGvXR5uJ6PNb-jaQ0KOgT0iKquKSL2RCCnRhvyBBrvRId37B_YrQHTy8Wu3C0v52s0PFwAxQExBvQwwp77PJ4-u25fhdviU3vKEtNhZbkO/s320/Grand%20Louis%20Tome%201%20.jpeg" width="240" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Louis et sa compagne peinent à se trouver de l'espace entre leur job et leurs trois enfants. Mais c'est encore pire lorsque que des animaux sauvages envahissent soudain Paris... dont un marcassin qui s'incruste chez eux. Une vraie pandémie de grosses bébêtes ! Obligée de se confiner, la famille va devoir apprivoiser ce drôle de vivre ensemble, alors que dehors cerfs et blaireaux prennent calmement le contrôle de la capitale...<br />Une fable confinée, poétique et décalée, premier tome d'une tendre chronique familiale réalisée par Louis de La Taille.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">On a toutes et tous envie d’oublier les histoires de pandémies, de confinement et autres parce qu’il faut bien le dire, vivre pleinement, c’est le plus important. Néanmoins, avec ce premier tome de bande dessinée, on accepte de replonger dans une ambiance qui n’est pas sans nous rappeler des situations vécues, il n’y a pas si longtemps… A quelques détails près qui n’en sont plus, je vous l’accorde. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Alors oui, on oublie les virus pour passer du côté des animaux plus ou moins gros, plus ou moins crédibles pour envahir la capitale et en prendre possession. Les habitants ont pris la fuite ou se terre chez eux. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le graphisme est sympa, mais j’avoue que j’ai trouvé les animaux plus réussis que les humains (un peu trop simple, limite caricaturale par rapport justement aux premiers cités). Les couleurs sont intéressantes et collent bien au récit. Aucun problème. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les situations du quotidien sont bien rendues et je pense qu’il y a du vécu là-dessous. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Après on sent un message plus profond qui se met en place en toile de fond. Franchement, si croiser un lynx en pleine ville peut être hyper perturbant, voir inquiétant car c’est impressionnant, il faut savoir que cet animal est très difficile à observer dans son habitat naturel donc… Mais avoir peur de cervidés ? Il y a un décalage entre les urbains et la Nature qui n’est certes pas douce, ni tendre, mais… <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">J’ai apprécié cette mise en bouche sans pour autant dire que c’est un grand coup de cœur. La suite me surprendra peut-être et ce sera avec plaisir. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-56091360795633585852023-05-30T17:51:00.001+02:002023-05-30T18:27:24.617+02:00La femme de chambre de Nita Prose<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUpedwCk6yFxfA5Rn5U5fV9bYdmskaNHYRoPqCyS8WEjIUKQTpBh-LhU0qMWlmjjAfzgRoDopc0D3vUpoWUsA29a0D3rPfX87dzhF5ViSfMWtDlTfGJ-josxDo1kx5GkmEyyMrL2GXOUuf-adK_vHBtJVgyXUOFX8q-DNHIiKmRW4k2ZNXpw1LWRKn/s255/La%20femme%20de%20chambre.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="255" data-original-width="255" height="255" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUpedwCk6yFxfA5Rn5U5fV9bYdmskaNHYRoPqCyS8WEjIUKQTpBh-LhU0qMWlmjjAfzgRoDopc0D3vUpoWUsA29a0D3rPfX87dzhF5ViSfMWtDlTfGJ-josxDo1kx5GkmEyyMrL2GXOUuf-adK_vHBtJVgyXUOFX8q-DNHIiKmRW4k2ZNXpw1LWRKn/s1600/La%20femme%20de%20chambre.png" width="255" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch :</u></b> <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p style="font-family: "Times New Roman", serif; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">« Je suis votre femme de chambre. J’en sais tellement sur vous. Mais en fin de compte, vous : que savez-vous vraiment de moi ? »<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Bienvenue au prestigieux hôtel Regency Grand, avec ses tapis de velours rouge, ses dorures et ses employés plus rocambolesques les uns que les autres. La jeune Molly, discrète, solitaire et zélée, y travaille comme femme de chambre et en connaît tous les recoins.<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Un jour, elle trouve la richissime Mme Black dans sa suite, paniquée, aux côtés du corps sans vie de son mari – une pagaille bien compliquée à ordonner. Mêlée malgré elle à cette étrange affaire de meurtre, Molly mène l’enquête, aidée de quelques précieux collègues et amis. Elle va alors découvrir que, derrière la magnifique façade, le Regency Grand cache bien des secrets.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Molly est une jeune fille de 25 ans, femme de chambre au Regency Grand, donc une personne invisible aux yeux du grand monde, voir même de ses collègues. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Des amis ? C’est peu dire qu’elle est isolée car elle n’en n’a pas vraiment et en plus, elle a perdu ce qui lui restait de famille, sa grand-mère, il y a quelques mois. C’est pourtant elle qui va nous raconter toute l’affaire à travers son prisme que l’on sent très rapidement biaisé par un trouble du spectre autistique non diagnostiqué et non évoqué clairement par l’auteur, mais pour moi, cela ne fait aucun doute. C’est un peu ennuyeux car pour qui ne connaît rien à ces particularismes, le personnage de Molly peut paraître clairement stupide dans certaines situations, décalée, voir avec « l’électricité, mais pas à tous les étages ». Je trouve dommage de ne pas être aller jusqu’au bout de l’idée. Cela dessert le personnage, décontenance certains lecteurs et c’était pourtant une très bonne idée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je ne sais pas si la version livre classique n’est pas un plus pour ce cas car en version audio, Molly peut vite devenir agaçante. J’avoue que la lectrice n’est pas mauvaise du tout (elle fait très bien la voix de la grand-mère qui trotte dans la tête de Molly), mais certaines situations narrées m’étaient insupportables. Le côté spécial de Molly fait que l’on peut avoir envie de la secouer ou au contraire de la prendre sous son aile. Sa façon de voir les choses est déroutante pour le plus grand nombre alors qu’elle est parfaitement logique. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’intrigue passe un peu trop au second plan par moment également et je n’ai pas souvent eu l’impression d’être dans un ouvrage policier, mais une adaptation bien pensée à l’écran pourrait être réussie car elle imposerait certainement un autre rythme narratif et un côté visuel à certaines scènes.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">En résumé, de bonnes idées, de bonnes intentions, mais il aurait été encore plus intéressant de clarifier certains faits pour en faire un excellent bouquin (audio ou non). <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-9971947158860872042023-05-24T14:35:00.003+02:002023-05-24T14:35:38.072+02:00Harry Dickson, tome 1 : Mystères de Jean Ray<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4wiimpiUIaDAxWRsECNwK6a4iPbqEHtybg6fT0cqeWxmkPjtqrBVC9iNSKqfvTzXB8K03OkJ4LnuTYbzUgHez5uq_ufHKLdys6XpASKXx4KlUud98jAZ4Z3FgzOZNQM60PUh6_lyBuLniktf5FM-3Aw2l9PKED0hX-jJj7jg4kToVdGvFJEvDkeeq/s340/Harry%20Dickson%20tome%201%20Myste%CC%81ras.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="340" data-original-width="255" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4wiimpiUIaDAxWRsECNwK6a4iPbqEHtybg6fT0cqeWxmkPjtqrBVC9iNSKqfvTzXB8K03OkJ4LnuTYbzUgHez5uq_ufHKLdys6XpASKXx4KlUud98jAZ4Z3FgzOZNQM60PUh6_lyBuLniktf5FM-3Aw2l9PKED0hX-jJj7jg4kToVdGvFJEvDkeeq/s320/Harry%20Dickson%20tome%201%20Myste%CC%81ras.png" width="240" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Londres, prison de Hammersmith. Baltimore Harmon, un condamné à mort, est exécuté à l'aide d'un étrange prototype de chaise électrique. Le tout sous le discret regard de la romancière Delphina Cruyshank, qui observe la scène au télescope depuis une luxueuse tour, accessible à elle seule. Le premier va s'échapper à la suite de son exécution. Alors que la seconde va disparaître de ses appartements... Entre mystère, chambre close et surnaturel, la journée d'Harry Dickson s'annonce compliquée...</span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE3CA2N00TOxDSYoxx0gcdghUfZ7T2r-789tOXWAkevdcQFXtgZuKMIXW1cXmtJ9XKiOPcT8V0OHIzBcY8BvKc97F4DAhNPsH8xLZ_Mj1U92On9WpsXvFWDmd8lnSbxjUcgCCM6_Mv9p7rWbQJyuZq1pM3t3Rb_h4gs2cFAMh8y_A3_7wbNZ2VYJeX/s394/Harry%20Dickson%20001.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="128" data-original-width="394" height="104" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE3CA2N00TOxDSYoxx0gcdghUfZ7T2r-789tOXWAkevdcQFXtgZuKMIXW1cXmtJ9XKiOPcT8V0OHIzBcY8BvKc97F4DAhNPsH8xLZ_Mj1U92On9WpsXvFWDmd8lnSbxjUcgCCM6_Mv9p7rWbQJyuZq1pM3t3Rb_h4gs2cFAMh8y_A3_7wbNZ2VYJeX/s320/Harry%20Dickson%20001.jpeg" width="320" /></a></div><br /><o:p><br /></o:p><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Harry Dickson est le Sherlock Holmes américain. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est affirmé sur chacun des fascicules des premières publications (178 en tout) de l’œuvre de Jean Ray qui lui-même avait repris le personnage. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">De fait, Harry Dickson possède un physique qui n’est pas sans rappeler son homologue détective, mais je le trouve peut-être plus athlétique. Changement d’époque aussi qui explique cette impression certainement car nous sommes dans les années trente. Il y a aussi ses déductions, ses méthodes… Notons encore qu’il vit au 111 B Backer Street… On est très proche du 221 B Backer Street. Et puis, il y a une gouvernante, un inspecteur de Scotland Yard, le jeune Tom Wills, son acolyte.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Bref, on a tout pour les fans du genre.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Cette nouvelle adaptation en bande dessinée assez classique n’est pas à dénigrer. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je n’ai pas noté de révolution dans le traitement du sujet. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les graphismes me font penser à « Black et Mortimer ». Les couleurs sont toujours celles d’espaces sombres, mystérieux, peu accueillants… Bref assez stéréotypés, mais qui collent à l’ambiance du récit. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’intrigue est rétro, surprenante car certains rebondissements sont assez peu crédibles, mais qu’importe, on se laisse entrainer car l’ensemble est de bonne facture et assez fidèle à l’univers de Dickson. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Mystéras n’est pas le Fantomas de mon enfance, mais il y a ce kitch que l’on aime retrouver. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A voir pour la suite car nous n’en sommes qu’au premier volet. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGnU9UdOtMg0urnqd-MIN8rCYdC-HNsyq_VwKhiAk9NCTAX2E4EUxM0QK3jk97KnkxSC8-OjQGa-eDDUZrJ2SGVYOeFo3GLS2ft8n37YKC0Bs8f8FjWwOYS-THi9quJqJmf7Gk5uNES1ccrFDBdmf8YIoTAeHyiy1C0HuchvFwG_Eg5eqib5JqCw1H/s531/Harry%20Dickson%20002.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="531" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGnU9UdOtMg0urnqd-MIN8rCYdC-HNsyq_VwKhiAk9NCTAX2E4EUxM0QK3jk97KnkxSC8-OjQGa-eDDUZrJ2SGVYOeFo3GLS2ft8n37YKC0Bs8f8FjWwOYS-THi9quJqJmf7Gk5uNES1ccrFDBdmf8YIoTAeHyiy1C0HuchvFwG_Eg5eqib5JqCw1H/s320/Harry%20Dickson%20002.jpeg" width="241" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-62494914665223808832023-05-23T18:58:00.003+02:002023-05-23T18:58:51.466+02:00Tremblez de McSkyz<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgM9b6aU_Bvj8tOxYWVSXNEW8pdrPS5MtOBgy_V5e7fWHc95cdiNc0sVYRnL4JVcU57ZyPVScf7u1Fh9WwRvqccgv6ltlrXaKmTXp-gR8CNFlKwgpbdLbPqb5pOWA9Bk0QP0JHKSZqee6Rp60UwlGOP8paGSZSrhHhXh6DyqG3TU4KRS0Bao98AihDl/s500/Tremblez.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="500" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgM9b6aU_Bvj8tOxYWVSXNEW8pdrPS5MtOBgy_V5e7fWHc95cdiNc0sVYRnL4JVcU57ZyPVScf7u1Fh9WwRvqccgv6ltlrXaKmTXp-gR8CNFlKwgpbdLbPqb5pOWA9Bk0QP0JHKSZqee6Rp60UwlGOP8paGSZSrhHhXh6DyqG3TU4KRS0Bao98AihDl/s320/Tremblez.jpeg" width="320" /></a></div><br /> <p></p><p><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p style="font-family: "Times New Roman", serif; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Quatre amis assassinés au bord d’un lac en Finlande, une famille de fermiers tuée en France, une jeune maman torturée en Grèce, une adolescente disparue en Australie…<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Les histoires que vous allez lire sont toutes vraies et ont fait les gros titres des journaux ces dernières années. Pour chacune, découvrez-le déroulé des faits et de l’enquête, la psychologie des protagonistes, les débats pendant les procès et des focus sur les avancées de la criminologie.<o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Comme il le fait si bien sur sa chaîne YouTube, McSkyz nous tient en haleine au fil de ces 10 affaires de<span class="apple-converted-space"><i style="box-sizing: border-box;"> </i></span><i>true crime</i><span class="apple-converted-space"> </span>françaises et internationales, ultra documentées et racontées comme si vous les viviez en direct.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je l’avoue sans peine, je fais partie de ces personnes qui sont fascinées depuis toujours par les affaires criminelles. Ces faits divers, le plus souvent atroces car perpétrés par des gens très ordinaires, comme vous, comme moi. Je mets un peu à part les serial killer et autres affaires plus particulières.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Avant nous avions Pierre Bellemare (oui, les plus jeunes ne savent certainement même pas de qui je parle), puis Christophe Hondelatte qui continue d’ailleurs. Et d’autres podcasteurs et youtubeurs qui se sont lancés avec plus ou moins de succès. McSkyz est ceux-là. Je l’ai découvert avec plaisir avec ce livre audio qui nous fait faire le tour du monde avec dix affaires que je ne connaissais pas.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Belle découverte aussi car effectivement chaque histoire est bien documentée, mais aussi bien racontée. McSkyz nous livre aussi par petites touches ses impressions personnelles, certains de ses ressentis et donc cela crée une certaine connivence, empathie plus grande. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Excellente diction, bonne organisation pour la narration (il suit un schéma logique quasiment identique pour chaque affaire). On n’est jamais perdu et au final, on est troublé par ces cas dont certains sont à ce jour encore non résolus. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je pense que je vais aller découvrir ce qu’il fait sur sa chaine YouTube car l’expérience Audio-livre fut un réel plaisir. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-5186298825744087472023-05-16T15:21:00.003+02:002023-05-16T15:21:20.429+02:00Dans mon obscurité de Valentin Musso <p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKQwy2qC9frj6xEV7gby6hrYsZ4KMi46gUHka_3DSmL3eqbE58-4DvuaaoFfQ_bRLdJvcqcC05dWPNERev6mPe9L_oe9lDRa9Iqz9zZyMsWsdEUoaREoJmMdX8s8xqf5dY3-pOh8IcPyihE_IIHRigAvGBO4z0VMwAAJiH4oSTUfex49nR0Zc0r7iy/s604/Dans%20mon%20obscurite%CC%81.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="604" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKQwy2qC9frj6xEV7gby6hrYsZ4KMi46gUHka_3DSmL3eqbE58-4DvuaaoFfQ_bRLdJvcqcC05dWPNERev6mPe9L_oe9lDRa9Iqz9zZyMsWsdEUoaREoJmMdX8s8xqf5dY3-pOh8IcPyihE_IIHRigAvGBO4z0VMwAAJiH4oSTUfex49nR0Zc0r7iy/s320/Dans%20mon%20obscurite%CC%81.jpeg" width="212" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Et s’il fallait affronter l’obscurité pour trouver sa vraie lumière ?</span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Ludivine, une lycéenne de 17 ans, tombe amoureuse pour la première fois de sa vie. Mais le garçon étrange et secret qui l’attire fait peser sur elle un danger dont elle est loin de se douter.</span><br /><span style="background-color: white;">Emma, correctrice de 24 ans, mène une vie bien réglée. Jusqu’au jour où des événements étranges viennent bouleverser son quotidien et la plonger dans la terreur. Quelqu’un la harcèle-t-il ?</span><br /><span style="background-color: white;">Ou la solitude et les lourdes épreuves qu’elle a traversées la font-elles sombrer dans la paranoïa ?</span><br /><span style="background-color: white;">Zora, 34 ans, travaille à l’unité des affaires non résolues de la Brigade criminelle de Paris. Dans le dos de ses supérieurs, elle prend le risque de rouvrir un vieux dossier portant sur une disparition inquiétante. Ses recherches officieuses vont la conduire dans sa ville natale, où elle mettra au jour une terrible vérité…</span><br /><span style="background-color: white;">Trois femmes unies par un lien secret, qui devront se battre pour faire face à une menace invisible.</span><br /><span style="background-color: white;">Dans ce roman aux rebondissements plus inattendus les uns que les autres, Valentin Musso tisse un suspense psychologique implacable et nous manipule jusqu’aux dernières pages.</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Si un auteur arrive à vous faire sentir proche de l’un ou de plusieurs de ses protagonistes alors la partie est presque gagnée. Je dis presque car évidemment, il y a d’autres facteurs qu’il faudra maintenir dans le vert afin que l’expérience soit concluante. Donc sur ce premier point, Valentin Musso a marqué des points. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Si je ne suis plus lycéenne depuis très longtemps, j’ai une fille qui l’est encore et donc je me projette assez bien. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Si je ne suis pas déficiente visuelle et plus âgée qu’Emma, certaines de ses craintes/failles ne me sont pas totalement étrangères. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Si je ne suis pas enquêtrice, Zora ne me laisse pas de marbre non plus. Son arrivée plus tardive dans l’intrigue va donner encore un petit coup d’accélérateur que j’ai apprécié. Casser les rythmes de narration donne du peps au texte. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Bref, trois femmes différentes, mais dans lesquelles la lectrice que je suis trouve des aspérités auxquelles je puis me raccrocher. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Style simple en apparence, les pages défilent assez vite et bien. On aurait peut-être pu condenser encore quelques menus détails pour gagner en intensité, mais c’est chipoter un peu. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Il faudra aller vraiment au bout de sa lecture pour tout comprendre et être surpris. C’est de plus en plus rare et j’aime cette sensation de ne pas avoir tout deviné depuis le début ou presque. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Pas de révolution littéraire néanmoins. C’est juste bien fait, bien pensé, bien construit. Et c’est déjà très bien. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-72443175926676862952023-05-08T15:41:00.001+02:002023-05-08T15:41:06.066+02:00La sage-femme du roi d'Adeline Laffite et Hervé Duphot <p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUMgdLc1Ya4ac1b66WxJv0kv0yGFCTSv5p5_JBhjkT5AvFDTWbYWC3kfmydUyHlwFI_Zpyh-1nVshAXPci4EoOAjtNDDVZrkEWNiwEnNVPfodd1mD8EmzSlUkGYORJVpoRQ8Jffbnbt83HwV4hqCwMDn9Jf31ke3m3inKSOjlZUF-7_RG8vvfhIvnZ/s1859/La%20sage%20femme%20du%20roi.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1859" data-original-width="1400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUMgdLc1Ya4ac1b66WxJv0kv0yGFCTSv5p5_JBhjkT5AvFDTWbYWC3kfmydUyHlwFI_Zpyh-1nVshAXPci4EoOAjtNDDVZrkEWNiwEnNVPfodd1mD8EmzSlUkGYORJVpoRQ8Jffbnbt83HwV4hqCwMDn9Jf31ke3m3inKSOjlZUF-7_RG8vvfhIvnZ/s320/La%20sage%20femme%20du%20roi.jpeg" width="241" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p style="font-family: "Times New Roman", serif; margin-left: 0cm; margin-right: 0cm; margin-top: 0cm;"><b><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Au siècle des lumières, Angélique du Coudray, sage-femme à plus d'un titre, écrit un Abrégé de l'Art de l'accouchement et conçoit une « machine » aussi efficace qu'inattendue pour transmettre ses précieuses connaissances...</span></b><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;"><o:p></o:p></span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: "Times New Roman", serif; margin: 0cm 0cm 1rem;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 11pt;">Sage-femme au XVIIIe siècle, Angélique du Coudray a révolutionné l'enseignement de son Art. Jusqu'à cette époque, les morts en couche étaient monnaie courante. Afin de résoudre ce problème de santé publique, elle mit au point une méthode pédagogique innovante qui lui permit de former nombre de sages-femmes mais aussi des chirurgiens, aussi peu experts en obstétrique que les matrones, aux pratiques superstitieuses...<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHd2YVEZzTWayv06Ik39qvhPvIsEupn5xZH_G71lG-pQ91OkhLI206yladgsg73ZJwVZTDLYZrN9j5j-aiOVBIRFI2ih7EW8AgXCEMEew1RyrBznEDPAYnNYeKJULItFrrDjr7ZIhwv-qHK9kcxw6pDrXY5tRFS9UWCW2IkX6plq49nInluzBhYjAL/s302/La%20sage%20femme%20du%20roi%20bis.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="302" data-original-width="230" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHd2YVEZzTWayv06Ik39qvhPvIsEupn5xZH_G71lG-pQ91OkhLI206yladgsg73ZJwVZTDLYZrN9j5j-aiOVBIRFI2ih7EW8AgXCEMEew1RyrBznEDPAYnNYeKJULItFrrDjr7ZIhwv-qHK9kcxw6pDrXY5tRFS9UWCW2IkX6plq49nInluzBhYjAL/s1600/La%20sage%20femme%20du%20roi%20bis.jpeg" width="230" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Aujourd’hui accoucher n’est plus synonyme de gros risques à quelques exceptions médicales prés en générale bien identifiées et gérées par nos praticiens. Mais longtemps, mettre au monde un enfant était presque jouer sa vie à la roulette russe. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Madame de Coudray fait partie de ces femmes qui ont aidé à ce que de nos jours c’est une formalité si j’ose dire au point que l’on critique régulièrement que ce soit devenu trop médicalisé parfois. Mais ceci est un autre débat. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Dans cette bande dessinée de très belle facture, nous suivons la vie de Madame de Coudray. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le scénario est sans grande fioritures, mais le propos ne s’y prêtait guère je trouve donc tant mieux. Le choix de la narration fut classique et linéaire, mais au moins, on y gagne en clarté à défaut de fantaisie. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une belle documentation a dû être faite en amont. On a un beau tableau de la situation à Paris et en province. On saisit aussi toutes les idées préconçues par les différentes couches de la population et les corps de métiers, les penseurs d’alors. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une lecture agréable, instructive et fort bien illustrée.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A lire et faire lire. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKJHg0j9ZVNyfwpCWXhv0phhlVmyBVsNFilWLQOXSlbY8bMVUHhV0uWjMB9xHsj2PEFEHhaU6Uw5kee1J4b5qKeT5qo6e5EwqBZ97tWnksrNRLqmOu8m0pqSs6JESHTp8U8CwP857-wNIuBeNcEpUsURKfXMadoK5LyuQnYOomQuVcR-bu_h69jSvw/s2560/La%20sage%20femme%20du%20roi%20ter.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2560" data-original-width="1705" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKJHg0j9ZVNyfwpCWXhv0phhlVmyBVsNFilWLQOXSlbY8bMVUHhV0uWjMB9xHsj2PEFEHhaU6Uw5kee1J4b5qKeT5qo6e5EwqBZ97tWnksrNRLqmOu8m0pqSs6JESHTp8U8CwP857-wNIuBeNcEpUsURKfXMadoK5LyuQnYOomQuVcR-bu_h69jSvw/s320/La%20sage%20femme%20du%20roi%20ter.jpeg" width="213" /></a></div><br /><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-32437637560062521902023-05-08T15:10:00.009+02:002023-05-08T15:10:53.452+02:00SHerlock Holmes et les mystères de Londres, tome 1 de Jean-Pierre Pécau, Michel Suro et Scarlett<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHkiNpMd0y6EFnZ4XRa5Z4Wqvojb9nFNA6G4B1jvJ_AF2HAkMcNTQhUG5UiZCmkCHHcCzPCl8eCwZkn5DJSy65bB5wLowgo38bNynBFDHrGTPA18U-K-UUonpntPiF9tjy32nLz8qzZ56HI-sLh0sHZk2_xteKauQgiH1_Y5AbX-qxSYQlVkzkG22-/s800/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="577" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHkiNpMd0y6EFnZ4XRa5Z4Wqvojb9nFNA6G4B1jvJ_AF2HAkMcNTQhUG5UiZCmkCHHcCzPCl8eCwZkn5DJSy65bB5wLowgo38bNynBFDHrGTPA18U-K-UUonpntPiF9tjy32nLz8qzZ56HI-sLh0sHZk2_xteKauQgiH1_Y5AbX-qxSYQlVkzkG22-/s320/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201.jpeg" width="231" /></a></div><br /><p></p><p><br /></p><p><b><u>Le pitch : </u></b></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><span style="box-sizing: border-box;">Une nouvelle série constituée de récits apocryphes qui, pour la première fois, reflètent la véritable personnalité de Holmes qui fut un véritable anarchiste, ne respectant rien ni personne. Le premier Holmes politique !</span></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;">Une jeune fille est retrouvée morte, noyée dans la Tamise. Elle porte un masque étrange sur le visage. Aussitôt, les autorités pensent à la communauté jamaïcaine de l'East End, mais le célèbre détective n'est pas d'accord. Pour étayer ses dires, il va faire appel à Felix Fénéon, spécialiste des masques anciens, mais qui est poursuivi pour avoir posé une bombe dans un restaurant parisien !</p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfzf6c2UKU_2McNQbjvPiXBp51Jl1zIArf642iFnMKxdGLTNoEO3dtGiZAiCuXjc4zDPdQqIbR2HxWsgQr9MJoeFi4WgCrshFHk7-p76VriSAW5SED5d1txfIderqBiFFEnVH9uai7h-wpSWKG3ga94B6odysxKfkWWuvjKPeegbI5wBiUFtVrt1Sb/s2560/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201-%20ter.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2560" data-original-width="1829" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfzf6c2UKU_2McNQbjvPiXBp51Jl1zIArf642iFnMKxdGLTNoEO3dtGiZAiCuXjc4zDPdQqIbR2HxWsgQr9MJoeFi4WgCrshFHk7-p76VriSAW5SED5d1txfIderqBiFFEnVH9uai7h-wpSWKG3ga94B6odysxKfkWWuvjKPeegbI5wBiUFtVrt1Sb/s320/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201-%20ter.jpeg" width="229" /></a></div><br /><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><br /></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><br /></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><b><u>Ce que j'en pense : </u></b></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Une nouvelle bande dessinée avec pour protagonistes principaux Sherlock Holmes et son compagnon d’enquêtes, le Docteur Watson. A priori rien de très novateur et pourtant, ce premier tome devrait ravir les amateurs du genre. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Outre un graphisme soigné, au tracé précis, au rythme parfois nerveux, l’intrigue est intéressante, inédite et sordide à souhait avec une ribambelle de guest de l’époque. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Belle recherche historique pour intégrer en sus des faits, des affaires du moment.</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">On ne connaitra pas le dénouement de cette affaire dans ce premier tome donc vivement la suite que j’espère dans la même veine car j’ai été conquise. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy9biodlXAmn7po8zlTddYalDhw_1Bla4IrdA9FugFVWVQp1zSxtC-RIHXRZTFGq-2XcHjyDMeBgf8mEm-fizZr69mEzeC80IIgAEgfugjQly6BKY0vyhpUAcs7fd0heWpTwlfgPqH6eXLh2KOpR8_D0g4EOV7uVbYWN1YLYjkaRvuJaFsIoIbQkvg/s561/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201-%20bis.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="561" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy9biodlXAmn7po8zlTddYalDhw_1Bla4IrdA9FugFVWVQp1zSxtC-RIHXRZTFGq-2XcHjyDMeBgf8mEm-fizZr69mEzeC80IIgAEgfugjQly6BKY0vyhpUAcs7fd0heWpTwlfgPqH6eXLh2KOpR8_D0g4EOV7uVbYWN1YLYjkaRvuJaFsIoIbQkvg/s320/Sherlock%20Holmes%20et%20les%20myste%CC%80res%20de%20Londres%20tome%201-%20bis.jpeg" width="228" /></a></div><br /><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><br /></p><p style="box-sizing: border-box; caret-color: rgb(102, 102, 102); color: #666666; font-family: Raleway-Regular, sans-serif; font-size: 14.4px; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-17563416329713425702023-04-18T19:06:00.002+02:002023-04-18T19:06:16.549+02:00Le testament des abeilles de Natacha Calestrémé<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgncs9-h0IUNocnx5BZTKHa5lhAxFqDz-fzjcN6SJFc9acx8V47QX9C0DDXoAW6m2sbODvYaivRPl56tqi95qGfi8zFmpeI55t0C9BYOPq1S-jP7bu9lzwaWcB1TuUPf0RL1QP7hu9ECd1A0EvLwSDPo5TPdDUY2s0ytvNceFPAwHXpC93mnS0LRCX/s224/Le%20testament%20des%20abeilles.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="224" data-original-width="224" height="224" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgncs9-h0IUNocnx5BZTKHa5lhAxFqDz-fzjcN6SJFc9acx8V47QX9C0DDXoAW6m2sbODvYaivRPl56tqi95qGfi8zFmpeI55t0C9BYOPq1S-jP7bu9lzwaWcB1TuUPf0RL1QP7hu9ECd1A0EvLwSDPo5TPdDUY2s0ytvNceFPAwHXpC93mnS0LRCX/s1600/Le%20testament%20des%20abeilles.jpeg" width="224" /></a></div><br /> <p></p><p><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 13.5pt; letter-spacing: 0.4pt;">Paris. Des personnes meurent brutalement, comme frappées par un mal invisible. Pourquoi ne trouve-t-on pas de mobile, ni d’ADN suspect, encore moins d’arme de crime ? Aucun lien apparent entre ces drames, si ce n’est un étrange symbole retrouvé à proximité des différentes affaires. Secte, bioterrorisme ou œuvre d’un psychopathe ? Toutes les pistes sont étudiées par le major Yoann Clivel, jusqu’à la découverte d’un testament. Ce document énigmatique servirait-il de fil conducteur à un assassin ?</span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une nouvelle découverte et un petit coup de cœur pour ce titre « lu » en version audio. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Florian Wormser m’a vraiment fait vivre cette intrigue et la réalisation générale est de très bonne facture. J’ai très envie de découvrir maintenant d’autres ouvrages de l’auteur. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Pour en revenir à ce polar, il est bien documenté et rondement mené. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’intrigue se déroule en 2008, mais à quelques détails près cela pourrait se passer aujourd’hui. Elle est assez classique et ce n’est pas vraiment un défaut. L’efficacité est là. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les protagonistes sont bien dépeints et on les aime ou pas, mais globalement, il ne nous laisse pas de marbre. Ils sont assez réalistes et crédibles. On peut s’identifier à eux, à leur travers, leurs manies, leur qualités…<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Il y a un petit côté ésotérique qui ne fut pas pour me déplaire. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A noter que le roman est furieusement d’actualité plus que jamais. A lire, à écouter. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-58853573246928515902023-04-07T18:57:00.006+02:002023-04-07T18:57:54.057+02:00Chasse royale à Sandringhamcde S. J Bennett<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_tpL0OU-1dId68BTgXd7D7win6QFjfIe1ATwD-Tmo-dVcoWbCuEgfiDOm4hoPxE2-GnhDEdrHzibh483843kqGnPyJ7xARlAQN8ylY4WAmJNHxWI_ycRzfAaqIvkd0ZpWYwOpgVGCXECnPMG6cN26b8-O0p5xS60W1-_JvXV86vKV2elN22KNS3n6/s279/Chasse%20royale%20a%CC%80%20Sandringham.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="279" data-original-width="181" height="279" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_tpL0OU-1dId68BTgXd7D7win6QFjfIe1ATwD-Tmo-dVcoWbCuEgfiDOm4hoPxE2-GnhDEdrHzibh483843kqGnPyJ7xARlAQN8ylY4WAmJNHxWI_ycRzfAaqIvkd0ZpWYwOpgVGCXECnPMG6cN26b8-O0p5xS60W1-_JvXV86vKV2elN22KNS3n6/s1600/Chasse%20royale%20a%CC%80%20Sandringham.jpeg" width="181" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch :</u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Sa Majesté n’est plus, mais grâce à S. J. Bennett, elle mène toujours l’enquête !</span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Décembre 2016. Sur une plage du Norfolk, une jeune femme pousse un hurlement : elle vient de voir une main coupée sur le sable. Non loin de là, Elizabeth II prend ses quartiers d’hiver au palais de Sandringham. Grâce à une photo de la macabre découverte, elle a vite fait d’identifier la victime. Il s’agit de Ned St Cyr, une vieille connaissance.</span><br /><span style="background-color: white;">Quand on trouve de la drogue sur la scène de crime et que les fausses pistes se multiplient, Sa Majesté décide qu’il est grand temps de se remettre en chasse. Une nouvelle enquête se profile pour notre fin limier, épaulé par Rozie, son audacieuse secrétaire particulière adjointe. Sera-t-elle couronnée de succès ? </span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Un classique depuis des années dans certaines séries de polar est de faire mener l’enquête à des personnages ayant réellement vécus, souvent très connus du public ou proches d’un autre personnage lui très connu (Léonard le coiffeur de la reine Marie-Antoinette, Voltaire…). Prendre sa majesté la reine Elizabeth II était à mon sens osé car elle était encore vivante lors de la sortie des deux premiers volumes que je n’ai pas lus d’ailleurs. Mais pourquoi pas ? <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Que les lecteurs potentiels étant dans la même situation que moi (ne pas avoir lu les tomes 1 et 2) se rassurent. Ce n’est pas une obligation pour rentrer dans l’intrigue. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Sinon pour le reste, je dirais que c’est assez classique. On prend des éléments bien tangibles et réels. Une intrigue policière factice est ensuite greffée dessus et l’auteur y faire interagir des personnages fictifs et ses héros. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Dans ce cas, il s’agit ni plus ni moins de la famille royale britannique que l’on connaît forcément un peu. On se mêle encore plus facilement à leur quotidien d’autant plus qu’ils font plus ou moins parti du notre. Sans les suivre, on voit chaque semaine chez le marchand de presse des gros titres. Et la reine Elizabeth était un roc que tous connaissaient. Elle est particulièrement attachante car l’auteur lui prête des pensées et actions qu’on s’imagine proche de ce qui se passait réellement (sauf l’enquête). <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Divertissant et vraiment bien fait. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-61295480921061707102023-03-23T14:03:00.003+01:002023-03-23T14:03:31.069+01:00Genèse, le grand récit des origines de Guido Tonelli<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim1WDzEuns6NzncLMfrXmhIe42GeK1IQqkkuIfQdRlpGBqkN_Wi9L0hxFojrfSQze5pu__gTJtL_awx4Gy6uwQIAIeG0TfH8AIAyAJwJep_1a_OXWYk4snc6y7-AtOo5Mpq-8StqIRjugHMwUTcwZX-dBhCYDxJk6W8uAUqNB3CcWf61GmG4I4h2pP/s225/Gene%CC%80se.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="225" data-original-width="225" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim1WDzEuns6NzncLMfrXmhIe42GeK1IQqkkuIfQdRlpGBqkN_Wi9L0hxFojrfSQze5pu__gTJtL_awx4Gy6uwQIAIeG0TfH8AIAyAJwJep_1a_OXWYk4snc6y7-AtOo5Mpq-8StqIRjugHMwUTcwZX-dBhCYDxJk6W8uAUqNB3CcWf61GmG4I4h2pP/s1600/Gene%CC%80se.jpeg" width="225" /></a></div><br /><b><u><br /></u></b><p></p><p><b><u> <span style="font-family: Calibri, sans-serif;">Le pitch :</span></u></b></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">La curiosité et l'émerveillement face à l'origine de l'univers sont au cœur de notre expérience du monde. Depuis le Chaos décrit par Hésiode dans son poème sur la naissance des dieux grecs, Théogonie, jusqu'aux théories les plus actuelles sur le multivers, les humains ont poursuivi une quête incessante pour trouver une réponse à cette question essentielle : Que s'est-il passé exactement pendant les tous premiers instants ?</span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Dans ce best-seller international, le physicien Guido Tonelli, figure centrale de la découverte du boson de Higgs (la "particule de Dieu"), fait le court récit des sept moments décisifs de l'histoire extraordinaire de notre genèse : des origines de l'univers à la naissance de la vie et l'émergence du langage humain. S'appuyant sur les dernières découvertes, il nous révèle les incroyables défis auxquels les scientifiques sont confrontés pour éclairer ses mystères.</span><br /><span style="background-color: white;">"Des trous noirs à la matière noire et à la particule de Higgs, (...), ces pages accompagnent le lecteur passionné et curieux dans un voyage fascinant, toujours en cours." Extrait de la préface de Carlo Rovelli, Physicien, Auteur des Sept brèves leçons de physique.</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">J’ai toujours été fascinée par les grandes questions scientifiques sans jamais avoir eu le potentiel ou le bagage de connaissances suffisant pour tout saisir. Aussi suis-je très contente de trouver des documentaires, des articles, des expositions, des conférences ou des ouvrages me permettant d’approcher un peu ces savoirs. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">La version audio bénéficie d’un lecteur (Philippe Sollier) que j’apprécie grandement car j’aime beaucoup son timbre de voix, sa diction et son implication. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Là où c’est peut-être un peu moins bien par rapport à la version classique, c’est qu’une seconde d’inattention et hop, on peut se retrouver perdu dans des détails qui deviennent vite ardus par moment. La physique quantique ne s’approche pas avec un esprit qui vagabonde qu’on se le dise, même quand l’auteur a voulu être limpide pour les néophytes. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Mais que cela ne vous décourage pas car voilà…<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">6 h 55 de savoirs à écouter et réécouter. Cela ne se refuse pas quand c’est extrêmement bien fait (lecture et écriture).<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Aujourd’hui à la pointe, les énoncés seront peut-être à remettre en question dans quelques temps en fonction des prochaines découvertes, mais qu’importe. L’auteur le sait lui que dans ces domaines, rien n’est vraiment acquis et qu’il faut accepter de changer les angles de vue pour progresser. La vie est ainsi faite qu’elle le soit au niveau micro ou macro. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-69213347400406716992023-03-16T19:09:00.001+01:002023-03-16T19:09:04.156+01:00Quand tu écouteras cette chanson de Lola Lafon <p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRxbbPVIBs10PvMtYOZbrG3lU9L9iYtDoB85VuEKuehPUlh4mcpBK_BwV73u-RPLS0oies3c0bMAlXvc6VlvjwtyK1lFSh8v270Iz1mTN71_hTn6m4T7riY2UwiCkOokY09QIiq2WpdRHhsWn16G-GbZs6_estEyIr1PCPpxC46oeoIv3YhXjXYYiu/s250/Quand%20tu%20e%CC%81couteras%20cette%20chanson.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="250" data-original-width="250" height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRxbbPVIBs10PvMtYOZbrG3lU9L9iYtDoB85VuEKuehPUlh4mcpBK_BwV73u-RPLS0oies3c0bMAlXvc6VlvjwtyK1lFSh8v270Iz1mTN71_hTn6m4T7riY2UwiCkOokY09QIiq2WpdRHhsWn16G-GbZs6_estEyIr1PCPpxC46oeoIv3YhXjXYYiu/s1600/Quand%20tu%20e%CC%81couteras%20cette%20chanson.jpeg" width="250" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Le 18 août 2021, j'ai passé la nuit au Musée Anne Frank, dans l'Annexe. Anne Frank, que tout le monde connaît tellement qu'il n'en sait pas grand-chose. Comment l'appeler, son célèbre journal, que tous les écoliers ont lu et dont aucun adulte ne se souvient vraiment ? Est-ce un témoignage, un testament, une œuvre ?</span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Celle d'une jeune fille, qui n'aura pour tout voyage qu'un escalier à monter et à descendre, moins d'une quarantaine de mètres carrés à arpenter, sept cent soixante jours durant. La nuit, je l'imaginais semblable à un recueillement, à un silence. J'imaginais la nuit propice à accueillir l'absence d'Anne Frank. Mais je me suis trompée. La nuit s'est habitée, éclairée de reflets ; au cœur de l'Annexe, une urgence se tenait tapie encore, à retrouver.</span><br /><span style="background-color: white;">Prix Décembre 2022</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense :</u></b> <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Anne Frank, tout le monde la connaît et on la relit forcément à son journal dont nous avons tous lu au moins quelques passages dans notre adolescence soit en cours de français, soit d’Histoire. A ce patronyme, on associe également les termes de guerre, juifs, persécution, cachette, déportation, mort… <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">D’Anne Frank, on a tous aussi un vague souvenir d’une ou deux photos d’une adolescente pour l’éternité. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">En bref, Anne Frank est devenue un symbole, voir une icône, mais qu’on connaît assez peu en réalité. Parce qu’on a oublié, parce que le message fut parfois tronqué, dénaturé…<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Mais Anne Frank voulait vivre, devenir écrivain, pas devenir un porte-drapeau ou presque une marque. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est l’un des points de départ de la démarche de Lola Lafon pour l’écriture de ce livre. Elle va explorer la personnalité d’Anne Frank, mais aussi d’autres membres de sa famille par ricochet. Elle demandera à passer une nuit entière dans le musée consacré à l’Annexe (en Hollande) qui servit de cache pour la famille Frank et d’autres personnes qui sont venues les rejoindre.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une nuit pour être au plus près de ce que l’on peut ressentir aujourd’hui de l’expérience de ces clandestins que l’horreur nazie à tout de même rattrapée. Une nuit pour tenter de comprendre Anne Frank et ce qu’elle est devenue aujourd’hui. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’histoire des Frank fait écho à l’histoire de la famille de Lola Lafon. Elle débordera du cadre strict qu’elle s’était peut-être fixé au départ, même si justement, elle ne savait pas trop comment elle allait écrire sur cette thématique qui était pourtant devenue un besoin. Pas après pas, les morceaux des puzzles de ces existences brisées, marquées, vont se compléter. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une écrivaine actuelle va rencontrer une écrivaine en devenir qui traverse les époques d’une manière qu’elle n’aurait peut-être pas souhaité. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Puis le souvenir d’un autre personnage va prendre le pas sur tout cela car l’Histoire semble être un éternel recommencement. Un autre destin plein d’avenir fut brisé par les Khmers rouges cette fois, mais qu’importe les bourreaux. Le résultat est là. Des gens manquent à l’appel et pourtant, ils sont encore là car ils vivent à travers les autres et ont laissé des traces indélébiles.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-69774999238540753982023-03-14T21:02:00.002+01:002023-03-14T21:02:14.048+01:00Le crime d'Orcival d'Emile Gaboriau<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieW4ZWQg4EGS_8A4SpExANsFd-ZHikxZZdV3Elv-6O__U_7G37nUy4vrUWVtk8Dxqq2NkhMPBRqyPYhbtJ0eItDBVBIpJLri9nUiKC2MRB4905VTXhpxVz5q7ieJUZcaLSuez09d9iI_gwXMRcB8W12ZkZiI7OjGSQhjWt9hn243fnUCXqhy8ZnE_t/s468/Le%20crime%20d'Orcival.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="468" data-original-width="468" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieW4ZWQg4EGS_8A4SpExANsFd-ZHikxZZdV3Elv-6O__U_7G37nUy4vrUWVtk8Dxqq2NkhMPBRqyPYhbtJ0eItDBVBIpJLri9nUiKC2MRB4905VTXhpxVz5q7ieJUZcaLSuez09d9iI_gwXMRcB8W12ZkZiI7OjGSQhjWt9hn243fnUCXqhy8ZnE_t/s320/Le%20crime%20d'Orcival.webp" width="320" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Un meurtre a été commis au château d'Orcival, propriété du comte de Trémorel. Alors que la police est persuadée d'avoir trouvé les coupables et réglé cette sanglante affaire, l'agent de sûreté Lecoq arrive de Paris et remet tout en question. Ce dénouement rapide lui paraît en effet bien illusoire. Il redémarre l'enquête avec ses méthodes d'investigation très personnelles, examine soigneusement les circonstances du crime, rassemble des détails, découvre des mobiles, relie d'improbables protagonistes et fait éclater la vérité à la surprise générale. </span><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br /><span style="background-color: white;">Après Dossier 113, Monsieur Lecoq et L'affaire Lerouge, Gaboriau nous emmène une fois de plus à la suite de son agent de sûreté Lecoq, le premier policier professionnel de la littérature.</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je n’ai pas lu, ni écouté les précédents romans où Monsieur Lecoq nous fait part de tout son talent pour démêler les intrigues. Je l’ai donc découvert à travers le crime d’Orcival et je ne le regrette pas. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">La version audio que j’ai eu le loisir d’écouter était de très bonne facture. Le lecteur avait une voix très agréable et qui collait bien au récit. Pas de fioritures, mais c’était très bien ainsi, le texte regorgeant lui de multiples détails propres à une écriture un peu désuète, typique de l’époque (1867), mais non dénuée de charme. Un vrai classique qui est certes un peu long (toujours énormément de détails cités), mais qui est un régal à écouter. Et si le diable est dans les détails, il est partout dans ce roman.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Comme un bon film d’époque, c’est un ravissement que de découvrir comment Monsieur Lecoq, qui inspirera tant d’autres personnages de la littérature policière à venir, va nous expliquer comment toute l’affaire s’est déroulée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est méthodique, carré, mais avec aussi un brin de romantisme là encore parfaitement désuet, mais qui est agréable à retrouver là. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">C’est théâtral avec un art consommé de la mise en scène. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Ne boudez pas votre plaisir, vous pourriez être fort surpris. <o:p></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-78066243458383407052023-03-09T11:39:00.008+01:002023-03-09T11:39:46.844+01:00Gisèle Halimi, une jeunesse tunisienne de Sylvain Dorange et Danièle Masse<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgubLcZKSMjH5tlHO-6L2FQbq9qvshJJAxUsHVXBy_KafW99Z9TxLDvIdq3PXf4a7HfSnCIDAZSwa4M0HGirgZaRfqZ9nsd_qoDRdt_6Aj7X7MunG2laM_5eBvHK2bgW_xg7hpIpORe451gGImO3fW-mh1ZqRArssfidMd9dZUyoS37xhqrZ28EcgKn/s225/Gise%CC%80le%20Halimi%20une%20jeunesse%20tunisienne%201.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="225" data-original-width="225" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgubLcZKSMjH5tlHO-6L2FQbq9qvshJJAxUsHVXBy_KafW99Z9TxLDvIdq3PXf4a7HfSnCIDAZSwa4M0HGirgZaRfqZ9nsd_qoDRdt_6Aj7X7MunG2laM_5eBvHK2bgW_xg7hpIpORe451gGImO3fW-mh1ZqRArssfidMd9dZUyoS37xhqrZ28EcgKn/s1600/Gise%CC%80le%20Halimi%20une%20jeunesse%20tunisienne%201.jpeg" width="225" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10.5pt;">Très tôt confrontée au racisme et aux inégalités, Gisèle Halimi comprend que seules les études la sauveront d'un destin tout tracé. Le récit de cette jeunesse tunisienne l'illustre de la résistance de Gisèle Halimi enfant puis adolescente face aux diktats tant familiaux que politiques, résistance qui porte en germe les engagements futurs de cette femme d'exception.</span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Un bel album BD pour découvrir l’enfance et la jeunesse d’une femme qui marquera son époque et qui même aujourd’hui continue d’y laisser son empreinte. Tout était déjà là. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Si son œuvre force le respect, sa détermination dès le plus jeune âge est tout aussi magnifique. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je n’ai pas été fan des dessins, mais pour autant, c’est très efficace. Les couleurs sont en revanche à mon sens très réussies et reflètent très bien la lumière ou au contraire les ténèbres du pays, des situations personnelles ou politiques. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les personnages en dehors de Gisèle elle-même sont bien campés. Certains vont nous horripiler à minima, d’autres vont nous attendrir. On ne restera pas de marbre et c’est preuve que l’ensemble de l’album est une réussite. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">On pourrait dire que c’est parfois un peu trop manichéen et en cela je trouve que le père de Gisèle apporte énormément de nuances. Il est en effet plutôt un soutien pour sa fille tout en ne reniant pas des pratiques patriarcales. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Une excellente première approche pour les plus jeunes adultes qui n’auraient pas trop entendu parler de Gisèle Halimi ou qui auraient un peu de mal à la replacer dans notre Histoire récente. Ensuite, je conseillerai plutôt de lire d’autres ouvrages plus complets et allant au-delà des dix-huit ans de Gisèle. Dans l’album, on a quand même une belle postface qui donnent quelques grandes lignes, mais c’est plutôt un « apéritif » qui pousse à creuser plus tard, ailleurs. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A découvrir et à faire découvrir. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-3176912865186361542023-02-27T15:32:00.005+01:002023-02-27T15:32:43.011+01:00Le livre de Liane d'Agathe Lemaître<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmNw2OxcqZztc_NdLZLMO3HYZo6N-iEpYK_Dd273hc5hAGiQSK6qODVq1scykRiWrO71SXRGdJNAgC5l7khs3ZHchknV8hJBzBmWgST0swVfNyFU5Hs_78XjOY6KsNBg1fdK_GmmKoTRwITnEGcoAgiQh_pv969M7cDHv8tTGAuztt33uoHAddi4Px/s272/Le%20livre%20de%20Liane.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="272" data-original-width="186" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmNw2OxcqZztc_NdLZLMO3HYZo6N-iEpYK_Dd273hc5hAGiQSK6qODVq1scykRiWrO71SXRGdJNAgC5l7khs3ZHchknV8hJBzBmWgST0swVfNyFU5Hs_78XjOY6KsNBg1fdK_GmmKoTRwITnEGcoAgiQh_pv969M7cDHv8tTGAuztt33uoHAddi4Px/s1600/Le%20livre%20de%20Liane.jpg" width="186" /></a></div><br /> <p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">« Je l’affirme haut et fort : les mots peuvent tuer. »<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br />Louise a quitté Toulouse pour une carrière loin des siens, à Singapour. En 2018, le jour de son anniversaire, alors qu’elle guette l’arrivée du premier texto, les mots de son père rompent la quiétude de la nuit. Liane, sa petite sœur, celle avec laquelle elle rêvait de parcourir le monde, a été retrouvée suicidée dans son studio.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"><br />Passé la déflagration de l’annonce, Louise n’a qu’une obsession : retracer les derniers mois de la vie de Liane pour comprendre ce qui l’a menée à ce geste définitif. Ce qu’elle va découvrir, jamais elle n’aurait pu l’imaginer. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Ce roman est inspiré d’une histoire vraie. À partir d’archives policières et du journal intime de sa sœur, Louise a remonté le fil de la tragédie. Cette tragédie porte un nom : harcèlement scolaire. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm; vertical-align: top;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 11pt;">Liane rêvait de devenir criminologue et écrivaine. Ce livre lumineux écrit à quatre mains, c’est le sien, Le Livre de Liane, pour dire la souffrance, les silences, la solitude. Célébrer aussi : la dignité et le sens du combat des victimes qu’on entend ici à travers sa voix.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Le harcèlement scolaire est trop fréquent et il laisse des traces. Il pousse même un certain nombre de jeune gens à l’irréparable. Je ne l’ai pas connu et si ma fille aînée y fut confrontée, elle a eu le courage de nous en parler assez vite. On lui avait, comme à sa sœur, maintes fois dit que si un jour, un truc ne se passait pas normalement, il fallait en parler à un adulte. A nous, ses parents ou à toute autre personne pouvant l’aider. On a effectivement ouvert d’emblée cette possibilité car il est parfois plus simple, moins intimidant de se confier à un tiers. Le problème fut réglé en quelques semaines car tout le monde a pris les choses au sérieux. Nous avons eu de la chance. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Le roman d’Agathe Lemaitre témoigne que d’autres fois, c’est bien plus tragique. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Cet écrit traite d’ailleurs à mon sens plus du questionnement sur le mal être qui pousse la victime à ce geste ultime que sur le harcèlement proprement dit. Il traite également du deuil quasi impossible quand on n’a pas vu les signes avant-coureurs du drame. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Durant ma lecture, j’ai plus été prise par Louise que par Liane sauf quand celle-ci parlait des faits mêmes liés au harcèlement qu’elle a subi des années durant dans une indifférence qui faisait certainement plus mal encore que les brimades verbales, les railleries, les gestes déplacés, les messages insultants… Je pense qu’à un moment donné, il est impossible de se taire ou de ne pas intervenir. Cela peut prendre plusieurs formes et cette absence est assourdissante. Alors quid des autres élèves, adultes ? <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Le style et la construction du roman est bien pensée. Elle laisse la possibilité d’entendre Liane, mais encore une fois, en dehors de certains passages évoquant les différentes phases du harcèlement, beaucoup des « extraits » de ses écrits ne sont pas assez forts. Ils ne m’ont pas permis de me sentir plus proche d’elle. Ils étaient pourtant dits plus personnels, moins directement liés à la narration des faits qui l’ont poussé au suicide. Certains m’ont même paru sans intérêt… Pourquoi ? Je ne saurai le dire. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Louise et son impossibilité de faire son deuil m’a touché aussi, mais ensuite, je ne l’ai plus comprise. Ses proches non plus, qui échaudés auraient dû intervenir dans sa propre chute. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">Le final de l’ouvrage est… surprenant. Barré, mais pourquoi pas. C’est là que la fiction a le plus repris ses droits et c’est une idée. <o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;">C’est un livre important qui pourra parler à plus d’une personne. Je pense qu’il serait intéressant que les médiathèques ou les CDI des établissements scolaires en possède un exemplaire. C’est aussi typiquement le genre de texte contemporain que l’on peut étudier en classe français.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><br /></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><br /></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><br /></span></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-66512589799999514742023-02-22T18:41:00.005+01:002023-02-22T18:41:33.784+01:00Mamie Luger de Benoit Philippon <p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgTtO9Sq14bpIig7xnwrqcvDDsfBzm_J6U9ZH-HnjJxu3bYpfFS4J9fIBSSo_7xGbg2CPmid8XfuC_LCAEUpQ1EI9z5xKBgqDP-_w2skmL5XAi4DxgAsFs3Rq0KC-gjVGHc6S-60wUC31qYbu_I74YntmwDWXW_Wk5Al224vN8vEpZyOzRazp69Brf/s225/Mamie%20Luger.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="225" data-original-width="225" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgTtO9Sq14bpIig7xnwrqcvDDsfBzm_J6U9ZH-HnjJxu3bYpfFS4J9fIBSSo_7xGbg2CPmid8XfuC_LCAEUpQ1EI9z5xKBgqDP-_w2skmL5XAi4DxgAsFs3Rq0KC-gjVGHc6S-60wUC31qYbu_I74YntmwDWXW_Wk5Al224vN8vEpZyOzRazp69Brf/s1600/Mamie%20Luger.jpg" width="225" /></a></div><br /><p></p><p><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Le pitch :</u></b> <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 13.5pt; letter-spacing: 0.4pt;">Six heures du matin, Berthe, cent deux ans, canarde l’escouade de flics qui a pris d’assaut sa chaumière auvergnate. Huit heures, l’inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger passe aux aveux et le récit de sa vie est un feu d’artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de veuve noire et de nazi enterré dans sa cave.</span><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 13.5pt; letter-spacing: 0.4pt;"><br /><span style="background-color: white;">Alors aveux, confession ou règlement de comptes ? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée mais il sent qu’il va falloir creuser. Et pas qu’un peu.</span></span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense :</u></b> <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Je l’avoue, je tourne autour de ce livre depuis quelques années, mais je n’ai pas pris le temps de le découvrir. La version audiolib est arrivée et là je saute le pas. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Aucun regret sauf celui peut-être d’avoir tant attendu pour découvrir ce petit bijou.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Un coup de cœur !<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Cela faisait un moment que je n’avais pas été autant surprise, ni émue par un récit qui l’air de rien vous colle quelques baffes bien senties ! C’est revigorant, vivifiant d’être ainsi un peu malmenée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Franchement, Benoît Philippon fait très fort. Avec son style qui n’est pas sans rappeler « Les tontons flingueurs », il a su avec sa galerie de personnages dont Berthe est le diamant, nous écrire un roman féministe (oui c’est un homme qui écrit et alors ?!), drôle, mais terriblement émouvant aussi, actuel tout en faisant la part belle à ce passé qui n’était pas mieux.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">De 1914 à 2016, on aura une belle fresque de la société française et ce n’est pas joli-joli. Pas de quoi faire les coqs ! <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">A découvrir de toute urgence car la vie de Berthe n’est pas un long fleuve tranquille. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Le final est forcément grandiose avec ce petit truc qui va vous vriller un peu l’estomac et les glandes lacrymales. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Détails techniques : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" class="MsoNormalTable" style="border-collapse: collapse; color: black; width: 494px;"><tbody><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Auteur<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Benoît Philippon<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Lu par<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Fabienne Loriaux<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Collection<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Policier / Thriller<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Éditeur d'origine<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Les Arènes<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Durée<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">8h52<o:p></o:p></span></p></td></tr></tbody></table><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;"> </span></p><table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" class="MsoNormalTable" style="border-collapse: collapse; color: black; width: 494px;"><tbody><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">EAN<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">9791035411961<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Prix du format numérique<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">22,95 €<o:p></o:p></span></p><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: "Material Icons", serif;">shopping basket</span><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.2pt;"><o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">EAN numérique<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">9791035411961<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Date de parution<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">25/01/2023<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Code article<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">7865311<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Format<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Fichier audio<o:p></o:p></span></p></td></tr><tr><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 18pt 6.75pt 12pt;"><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">Poids<o:p></o:p></span></p></td><td style="border-bottom-color: rgb(238, 234, 231); border-bottom-width: 1pt; border-style: none none solid; padding: 6.75pt 12pt;"><p align="right" class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 12pt; margin: 0cm; text-align: right;"><span style="font-family: Arial, sans-serif; letter-spacing: 0.4pt;">731 (Mo)<o:p></o:p></span></p></td></tr></tbody></table><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p><br /></o:p></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-34274062325190930172023-02-16T14:12:00.000+01:002023-02-16T14:12:03.082+01:00Celle qu'il n'attendait pas de Luca Casalanguida et Maryko<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj50-RjZqAjqTHyKvzjW5Tf2H5KFEO4zICiX_ijrYaPorQFKP1f7P53SpQxpscEI8Ff2o5jk2mQeMUJqoLsNwJpOPzzrw9Iu3TIY_jrHbKlXlbydy7aGee0cmLkuXcqcecTNl09mBWlrp97BJVjYL3B6YlbIJrd4JAtKY9jQmDhLS3mjXZKRPlMVTJ/s259/Celle%20qu'il%20n'attendait%20pas.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="259" data-original-width="194" height="259" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj50-RjZqAjqTHyKvzjW5Tf2H5KFEO4zICiX_ijrYaPorQFKP1f7P53SpQxpscEI8Ff2o5jk2mQeMUJqoLsNwJpOPzzrw9Iu3TIY_jrHbKlXlbydy7aGee0cmLkuXcqcecTNl09mBWlrp97BJVjYL3B6YlbIJrd4JAtKY9jQmDhLS3mjXZKRPlMVTJ/s1600/Celle%20qu'il%20n'attendait%20pas.jpg" width="194" /></a></div><br /><p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>La quatrième de couverture :</u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10.5pt;">Camille passe tout son temps libre devant une grande bâtisse sans que personne ne comprenne à quoi elle rêve. Mais un beau jour, le propriétaire Roland Mars, un vieil écrivain discret, l'embauche pour des travaux subalternes. Construite sur le modèle du temple de Louxor, la maison se révèle être un lieu initiatique duquel la jeune femme ne ressortira pas comme elle y est entrée...</span><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><b><u>Ce que j’en pense. : </u></b><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Un beau roman graphique en one shot.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">La couverture est un appel à la lecture auquel je n’ai pas résisté. Ensuite… <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Cet album est un parfait exemple du fait que les planches ne sont pas une simple option, mais qu’à elles seules, elles peuvent en dire tout autant qu’un long texte. On alterne des passages avec des explications plus ou moins longues, des dialogues rapides et des pages sans aucun texte. C’est très bien ainsi. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Graphiquement, c’est pas mal, mais ce n’est pas mon approche préférée. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les couleurs cadrent parfaitement avec l’ambiance. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Les textes sont parfois ou trop courts ou trop longs… Mais franchement, le sujet traité n’est pas aisé. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><o:p> </o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">L’intrigue reprend pas mal d’idées déjà vues ou lues ailleurs, mais l’ensemble ainsi ficelé n’est pas mauvais du tout. Cela se lit globalement très bien et d’une traite. On ne s’ennuie pas. <o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;">Camille est intrigante, plus que Roland Mars à mon goût. Après je pense que j’aurai apprécié encore plus un diptyque pour aller un peu plus loin. Certains passages sont comme les dialogues ou explications : trop rapides.<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p><p class="MsoNormal" style="font-family: Calibri, sans-serif; margin: 0cm;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6809068498862746855.post-32764176732031606812023-02-08T19:02:00.005+01:002023-02-08T19:02:54.866+01:00Le roi et l'horloger d'Arnaldur Indridason <p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNDyXOyuexMzCq_jQUAX-jGMtGAL83kShrgl54RaYC-97huym65_Vr6ZDmttlSji67ubCUslN9efiL3uz4_6CsLmwHRvAcmtGfijElChaxJbSk00qVJ5ZHGqIsNZPOECZ0LSJE-Fwr7pH4YBl9_M0cPKziWSLVu_DvjD2io5CrxBPM74KIAt3WVJ0n/s278/L'horloger%20et%20le%20roi%20.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="278" data-original-width="181" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNDyXOyuexMzCq_jQUAX-jGMtGAL83kShrgl54RaYC-97huym65_Vr6ZDmttlSji67ubCUslN9efiL3uz4_6CsLmwHRvAcmtGfijElChaxJbSk00qVJ5ZHGqIsNZPOECZ0LSJE-Fwr7pH4YBl9_M0cPKziWSLVu_DvjD2io5CrxBPM74KIAt3WVJ0n/s1600/L'horloger%20et%20le%20roi%20.jpg" width="181" /></a></div><br /> <p></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><b><u>La quatrième de couverture : </u></b></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Arnaldur Indridason met tous ses talents d’auteur de roman noir mondialement reconnu, sa maîtrise de l’intrigue, du découpage, du rythme de l’action ainsi que du suspense, au service d’un grand roman historique et d’une œuvre littéraire magnifique sur la paternité et sur les relations des hommes qui ne savent pas se parler.</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Au XVIIIe siècle, l’Islande est une colonie danoise, gérée par les représentants de la Couronne qui souvent usent de leur autorité pour s’approprier des biens, en profitant en particulier des lois qui condamnent les adultères à la peine de mort. Le roi Christian VII, considéré comme fou et écarté du pouvoir, traîne sa mélancolie à travers son palais jusqu’au jour où il rencontre un horloger islandais auquel a été confié un travail délicat. Une amitié insolite va naître entre les deux hommes. À travers la terrible histoire du père de l’horloger, le souverain va découvrir la réalité islandaise et se sentir remis en cause par la cruauté qui s’exerce en son nom.</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Des ateliers du palais aux intrigues de la cour et aux bas-fonds des bordels de Copenhague, nous accompagnons ces héros dans leur recherche tragique et vitale.</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Un grand roman captivant et violent qui émeut le lecteur et le trouble en un crescendo qui va le laisser ébloui et inquiet devant la complexité du monde des sentiments que nous révèle Arnaldur Indridason.</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><b><u>Ce que j’en pense : </u></b> </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Je connais un peu l’écriture d’Indridason avec ses romans policiers. C’est très différent ici. J’avoue que j’avais très envie d’être justement un peu bousculée, surprise par ce changement de registre, de thématique, de catégorie qui est en réalité un retour aux sources pour l'auteur (si on s'en tient à sa formation et ses débuts professionnels). </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Ce fut hélas un peu la douche froide pour moi. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">J’ai été effectivement décontenancée. Là n’est pas le problème en soi. Je le souhaitais, pas de déception sur ce point. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">J’ai été déçue en revanche par certains passages et par le style de l’auteur. Des répétions, des tournures, des situations qui m’ont paru lourdes, pesantes. Envie d’aller plus vite même si une certaine lenteur n’est pas toujours désagréable. Là, cela m’a agacé. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Et pourtant, j’ai aussi trouvé certains passages très bien. De beaux détails, plus de profondeur (ce qui rendait le reste plus insupportable au final). Bref, une désagréable sensation de déséquilibre. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Je ne nie pas le travail, ni le soin apporté par son auteur à ce récit. Ce serait lui faire injure. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Juste, je crois que je ne suis pas parvenue cette fois à me laisser porter par cette histoire qui est pourtant originale, belle et aurait du me faire voyager dans le temps et les contrées. L’Islande tout de même ! Et puis un roi, un personnage de condition plus humble, mais à l’histoire riche, d’autres personnages encore ayant des existences rudes, tragiques, courageuses ou au contraire plus perfides comme leurs ambitions. Il y avait de la matière à...</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Le roi a bien rencontré son horloger, son histoire et le reste. </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Personnellement, j’ai raté ce rendez-vous. Décidément, les histoires de timing… </p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><br /></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 15px;"><br /></p>Emeraldahttp://www.blogger.com/profile/16574067120008286302noreply@blogger.com0